Avec 7 facultés, 4 instituts, 3 écoles et 1 observatoire, l’Université Paris-Est Créteil Val de Marne est présente dans tous les domaines de la connaissance depuis 1971. Les enseignants-chercheurs, les enseignants et plus de 3000 vacataires issus de partenaires publics et privés forment chaque année plus de 30 000 étudiants et actifs de tous les âges.
Acteur majeur de la diffusion de la culture académique, scientifique et technologique, l’université dispense un large éventail de formations dans plus de 300 disciplines, de la licence au doctorat. Elle offre ainsi un accompagnement personnalisé de toutes les réussites, grâce à des parcours de formation initiale, des validations d’acquis et la formation continue, ou encore par le biais de l’apprentissage. La diversification de ses partenariats économiques accroît son ancrage territorial tout en favorisant l’insertion professionnelle de ses étudiants.
Forte de son esprit pionnier, l’UPEC a aussi à cœur de dynamiser les échanges internationaux et d’accroître la mobilité des étudiants et des enseignants. Des domaines d’excellence scientifique renforcent son attractivité et la positionnent comme une communauté recherchée, au sein de la Communauté d'Universités et Établissements Université Paris-Est. En prise directe avec son environnement socio-économique et son territoire Est francilien, l’UPEC conjugue ainsi avec succès exigence académique et scientifique et ouverture à tous les publics.
Les violences entre adolescent(e)s sont révélatrices de l’existence d’attentes sociales en fonction de leur sexe biologique. Les réseaux sociaux exacerbent ces phénomènes.
Alors que l’ONU célèbre l’émancipation des filles, ces dernières continuent d’être confrontées à un harcèlement sexuel ordinaire dans l’espace scolaire, prolongé par la sphère numérique.
Les échanges numériques et sociaux entre adolescents permettent l’expression d’un sexisme dans le cyberespace : un cybersexisme très fort à l’encontre des jeunes filles.
Se gratter le visage, se mordre l’intérieur des joues, s'arracher les cheveux : certains gestes anodins relèvent de la pathologie dès lors qu’ils deviennent compulsifs.
Hervé Le Louët, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
Comme tout médicament, les vaccins peuvent entraîner des effets secondaires. Les citoyens peuvent accepter ce risque s’ils sont correctement informés, au lieu d’être blâmés.
Pas facile de prolonger le bénéfice des vacances une fois revenu au travail. Quatre attitudes doivent nous éviter de nous laisser submerger trop vite par le stress.
Si l'intestin est notre deuxième cerveau, rien d'étonnant alors qu'il puisse nous faire souffrir lorsque nos émotions nous submergent ou que notre psyché souffre de maladies.
Depuis 30 ans, les CIFRE permettent à des doctorants d’effectuer leur recherche au sein d’entreprises. Tour d’horizon d’un dispositif original gagnant-gagnant qui voit sa notoriété croître.
Fabrice Hamelin, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
Malgré le renforcement des moyens de surveillance, un aéroport international peut être attaqué avec de faibles moyens et l’impact de l’attaque a toutes les chances d’être démultiplié.
Les débats sont vifs autour de la plate-forme d’orientation APB qui met en lumière la complexité de l’enseignement supérieur français, mais qui peut également y contribuer.
Roman de Rafael, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
Le texte de l’accord de Paris, qui sera signé ce vendredi 22 avril à New York, prévoit la mise en place d'un dispositif financier qui ressemble à s’y méprendre au MDP, pourtant très controversé.
Fabrice Hamelin, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
Les attentats commis à Bruxelles le 22 mars dernier posent de manière aiguë la question de la sûreté dans les transports. Et la réponse n’est pas uniquement sécuritaire.
Hélène Romano, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
La société protège-t-elle bien ses enfants ? Au-delà des postures et des discours, il faut bien constater que la parole des enfants maltraités n’est pas, ou mal, prise en compte.
Le doctorat n'est pas populaire auprès des étudiants français. Il a un statut hybride et est mal perçu. Pourtant il peut offrir des compétences utiles au public et au privé.
Plutôt que réfléchir à supprimer les mutuelles étudiantes, il faut s’interroger sur leur capacité à remplir leur mission dans un contexte de concurrence frontale.
Doctorant en Sciences Politiques à l'Université Paris-Est Créteil, Laboratoire Interdisciplinaire d'Études du Politique Hannah Arendt (LIPHA), Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)