Pour comprendre les décisions et les missions de l'Arcom, l'autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique, il faut revenir sur son histoire.
Alors que l’éducation aux médias se développe, les chercheurs de l’association Édumédias, alliés au collectif La Friche, reviennent sur les initiatives en cours. Extrait de leur ouvrage.
La disparition puis la reprise du quotidien France-Antilles sont intrinsèquement liées à l’histoire coloniale toujours active dans les territoires d’outre-mer.
Les écoles sont fermées mais les cours continuent, assure le ministère de l’Éducation. Pour maintenir le lien avec les familles, il compte sur Internet, mais investit aussi des médias plus anciens.
L’État a annoncé débloquer 225 millions d’euros pour soutenir l’industrie culturelle française. Un geste qui paraît bien dérisoire face à la colossale concurrence mondiale…
Les gouvernements successifs, qui ont lancé une réforme tous les cinq ans en moyenne depuis 60 ans, n’ont jamais été guidés par des considérations économiques, démocratiques ou de gestion.
Résolument illégales, les radios libres nées à la fin des années 1970 aspiraient à faire vaciller le monopole d’État de la radiodiffusion et de la télévision.
L’effet combiné de la technologie numérique et de l’économie de partage va-t-il faire disparaître les médias pendant que notre limite de concentration se rétrécit ?
Secrétaire de la section « Sciences, histoire des sciences et techniques et archéologie industrielle » du Comité des travaux historiques et scientifiques (CTHS), École Nationale des Chartes
Docteur en science de l'information et la communication, laboratoire Mica, Université Bordeaux Montaigne, enseignant dans plusieurs universités, spécialiste de médias, ESS, contre culture, Université Bordeaux Montaigne