Les sous-bois jouent un rôle essentiel pour l’adaptation des espèces au changement de température, mais les pratiques forestières peuvent affecter ce microclimat.
Comment permettre aux plantes d’exprimer qu’elles sont une composante indispensable du vivant ? En faisant dialoguer art et sciences, une équipe de recherche ouvre des pistes.
Connaissez vous le khejri? De l'Arabie à l'Inde, cet arbre adapté aux conditions climatiques extrêmes est semeur de vie dans les déserts. Héritage sacré pour l’humanité, il est pourtant menacé.
Le reboisement, auquel 200 millions d’euros du plan de relance seront dédiés, se heurte aujourd’hui à des limites économiques, techniques et sociologiques.
Un dispositif résidentiel original voué à susciter de nouvelles perceptions des lieux, une autre dynamique culturelle véhiculée par une création-recherche in situ
Depuis la fin du confinement se multiplient les appels en faveur d’une école organisée en extérieur. Ce mouvement remet à l’honneur un courant pédagogique international déjà ancien. Explications.
Serge Muller, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Les zones urbaines doivent aujourd’hui prendre toutes les mesures possibles pour limiter les impacts des dérèglements climatiques sur les populations. Les forêts urbaines peuvent grandement y aider.
Acheter des plantes produites dans d’autres pays contribue à la diffusion de ravageurs et de maladies exotiques qui affectent les cultures et les forêts.
Maître de conférences, chercheur à l’Institut de systématique, évolution, biodiversité (ISYEB), botaniste systématicien, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Directeur de recherche CNRS, systématicien, directeur de l’Institut de systématique, évolution, biodiversité (ISYEB), Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Directrice de recherche CNRS, juriste, spécialiste du changement climatique et du droit de l’environnement et la santé, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne