Manifestation dans la capitale Sanaa, contrôlée par les houthis, le 12 janvier 2024, à la suite des frappes des forces américaines et britanniques, Le portrait est celui de Hussein al-Houthi, tué en 2004, qui a donné son nom au mouvement.
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En réponse à de nombreuses attaques commises en mer Rouge ces dernières semaines, les États-Unis et le Royaume-Uni ont décidé de bombarder des sites stratégiques houthis le 11 janvier 2024.
Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva serre la main du président chinois Xi Jinping après une cérémonie de signature qui s'est tenue au Grand Hall du Peuple à Pékin, en Chine, le 14 avril 2023.
(Ken Ishii/Pool Photo via AP)
Les pays du BRICS souhaitent un ordre mondial multipolaire. Mais cet idéal pourrait être compromis si Pékin décide de partager le leadership mondial avec Washington.
La réconciliation irano-saoudienne a été annoncée depuis Pékin, offrant à la Chine un succès diplomatique incontestable.
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Sept ans durant, Riyad et Téhéran se sont regardés en chiens de faïence. Le rétablissement de leurs relations diplomatiques, officialisé à Pékin, aura de nombreux effets dans la région.
Les joueurs du Maroc célèbrent leur qualification pour les quarts de finale, obtenue contre l'Espagne, en brandissant un drapeau palestinien, le 6 décembre 2022.
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Des joueurs, des supporters et même des officiels du Qatar ont profité de la compétition pour afficher leur solidarité pour la cause palestinienne, qui fait toujours consensus dans le monde arabe.
Katara Beach, à Doha, le 8 décembre 2022.
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Anie Montigny, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Le Qatar se veut ouvert au monde, mais sa société demeure mal connue. Cette société reste très stratifiée, même si elle connaît une certaine évolution dans plusieurs domaines.
Au centre de sécurité Aspire, en charge de la sécurité au mondial de foot au Qatar.
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À l’approche de la Coupe du Monde 2022 dans un pays aussi controversé que le Qatar, des questions se posent quant aux enjeux sécuritaires et à la coopération internationale.
Il y a cinquante ans, Doha n'était qu'un petit village de pêcheurs.
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En cinquante ans d'existence, le Qatar, pays minuscule et peu peuplé, est devenu un acteur international d'importance. Retour sur une trajectoire unique.
Joe Biden à l’aéroport de Djeddah le 16 juillet 2022.
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Le président américain s’est résolu à se rendre à Riyad dans l’espoir d’obtenir des avancées sur les questions énergétiques et sécuritaires. Sans succès.
Parade militaire des combattants houthistes à Sanaa le 31 mars 2022. Quelques jours plus tard, les houthistes et la coalition menée par l’Arabie saoudite signeront la première trêve depuis 2016.
Mohammed Huwais/AFP
Après de longues années de conflit terriblement sanglant (plus de 380 000 morts), les protagonistes de la guerre au Yémen ont signé une trêve. Prélude à une paix pérenne ou simple pause de la guerre ?
Le ministre des Affaires étrangères des Émirats arabes unis, Abdullah ben Zayed Al Nahyane, s’est rendu à Moscou le 17 mars, alors que la guerre en Ukraine faisait rage depuis trois semaines, pour rencontrer son homologue russe Sergueï Lavrov.
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L’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis, alliés de longue date de Washington, ne s’empressent guère de suivre les pays occidentaux dans leur volonté d’isoler la Russie.
Le 10 janvier 2021, Mohammed ben Salmane présente son projet de ville futuriste, The Line, qui devra s’inscrire dans la mégalopole Neom.
Neom
Neom, Silk City, Palm Jumeirah… Les pays du Golfe multiplient les projets de construction très ambitieux. Souvent, leur réalisation importe moins que les plans de com’ qui les entourent.
Le président qatari du Paris Saint-Germain, Nasser Al-Khelaïfi, pose aux côtés de la nouvelle recrue du club, Lionel Messi, le 11 août 2021.
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Avec le joueur argentin, les propriétaires qataris du club parisien se donnent toutes les chances de remporter un titre européen à quelques mois du début de la Coupe du monde 2022.
L'émir du Qatar, Tamim bin Hamad al-Thani, photographié ici en décembre 2020 pendant un match de football à Doha, a annoncé que désormais, 30 des 45 membres du Conseil de la Choura seraient élus par la population.
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En octobre les Qataris éliront pour la première fois une partie de leurs représentants à l’assemblée consultative. Une évolution qui s’inscrit dans un contexte de réformes plus général.
L’écran du centre de presse du 41e sommet du Conseil de coopération du Golfe (CCG) dans la ville d’al-Ula (Arabie saoudite) diffuse l’image du prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane (à droite) accueillant l’émir du Qatar Tamim bin Hamad Al-Thani, le 5 janvier 2021.
Fayez Nureldine/AFP
Si les sources de discorde entre le Qatar et l’Arabie saoudite n’ont pas disparu, le changement d’administration aux États-Unis invite Riyad à réévaluer sa position et à reconsidérer ses priorités.
Joe Biden, alors vice-président, est accueilli à Riyad le 27 octobre 2011 par le ministre saoudien des Affaires étrangères de l'époque.
AFP
Quelle politique Joe Biden conduira-t-il à l’égard des pays du Proche et du Moyen-Orient ? Ce tour d’horizon montre qu’il ne fera pas systématiquement l’inverse de son prédécesseur.
Pendant une manifestation de protestation contre les actions de l'administration Trump en Iran, Washington, le 8 janvier 2020.
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Les États-Unis ont tué Ghassem Soleimani sur le territoire irakien, et l’Iran a réagi en visant des bases américaines situées en Irak. Victime collatérale de cette affaire : le droit international…
Au cours du siècle, les températures moyennes dans certaines zones de la péninsule arabique pourraient avoisiner les 60° C.
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Dans le Golfe persique, où les températures devraient exploser au cours du XXIᵉ siècle, l’architecture traditionnelle pourrait aider les populations à s’adapter à cette chaleur.
Dubai, une ‘ville-entreprise’ qui favorise les expatriés occidentaux sur des critères très précis.
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L’« occidentalité » est construite comme un argument de vente au service de la « marque » Dubaï. Que recouvre cette expression et qui concerne-t-elle ? Extraits.
Le représentant de l'Iran auprès de l'Agence internationale de l'énergie atomique, Kazem Gharib Abad, lors d'une conférence à Vienne (Autriche), le 22 novembre 2018.
Joe Klamar / AFP
Thierry Kellner, Université Libre de Bruxelles (ULB) and Mohammad Reza Djalili, Institut des hautes études internationales et de développement de Genève
La politique interventionniste du régime de Téhéran dans la région, qui ne constitue pas une cause nationale pour la population iranienne, se heurte à plusieurs freins structurels.
Maître de conférences en géographie, membre de l'Equipe Monde Arabe et Méditerranée (UMR CITERES) & chercheur associé au CEFREPA (Koweït), Université de Tours
Docteure en histoire contemporaine et relations internationales, enseignante-chercheuse, chargée de cours sur l’histoire et l’actualité du Moyen-Orient contemporain, ainsi que sur les puissances et énergies dans le Golfe arabo-persique, Université Saint-Joseph de Beyrouth