Un certain nombre d’obstacles entravent encore le développement de la mode éthique, pourtant souvent décrite comme une issue à la spirale destructrice de la fast-fashion.
Avec Man Ray, le regard posé sur les femmes n’est plus seulement masculin et voyeur. L’artiste utilise les codes surréalistes pour rendre à ses modèles leur rôle de sujet dans l’entreprise artistique.
Des projets mobilisant l’intelligence artificielle ou la projection thermique cherchent à apporter des réponses aux défis économiques et environnementaux auxquels font aujourd’hui face les acteurs.
Les bonnes intentions en matière de lutte anti-gaspillage se heurtent aux modèles de surproduction des fabricants mais aussi à l'idéalisation du recyclage chez les consommateurs.
La mondialisation, la mode jetable et les économies d'échelle ont créé une tempête parfaite. La mode est bon marché, facile et abondante, mais elle exploite ses travailleurs et détruit l'environnement.
Instagram a les faveurs de la mode. Les marques l’utilisent de diverses façons, mais certaines ont encore une importante marge de progression. Et ce ne sont pas forcément celles que l’on imagine !
Toutes les dix minutes en Australie, 6 000 kilos de vêtements sont jetés. La faute à la mode éphémère des enseignes telles que H&M et Zara. Pour y remédier, une solution : investir dans la recherche.
Professeur de théologie et histoire des religions à la Luxembourg School of Religion & Society (LSRS), co-directeur de recherche, Collège des Bernardins
Professeur senior d’analyse financière, d’audit et de risk management - Directrice de Programme pour le MSc Fashion Design & Luxury Management- Responsable de la spécialisation MBA "Brand & Luxury Management", Grenoble École de Management (GEM)