Le 13 avril 2017, en Pologne: cérémonie d'accueil d'un bataillon de l'armée américaine déployée sur le flanc oriental de l'Alliance.
Wojtek Radwanski/AFP
S’il est difficile de savoir quel candidat sera sélectionné pour le second tour de la présidentielle, il est probable que les deux élus ne soient pas de chauds partisans de l’Alliance atlantique.
Emmanuel Macron à Bercy, le 17 avril.
Eric Feferberg/AFP
François Hollande, qui en avait fait une priorité, a déçu les jeunes. Bien présents sur scène aux côtés des présidentiables, seront-ils pour autant écoutés au lendemain du scrutin ?
Benoît Hamon, en meeting à Captieux (Sud-Ouest), le 16 avril.
Mehdi Fedouach/AFP
François Robinet, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Le candidat de la « Belle alliance populaire », Benoît Hamon, n’est plus désormais crédité que de 7 à 8 % d’intentions de vote. Comment en est-il arrivé là ?
Des migrants sur le pont d'un navire venu de Libye et conduit à Palerme (Sicile), le 18 avril 2017.
Alessandro Fucarini / AFP
L’analyse du programme et des discours des candidats révèle de vraies différences, à travers la persistance du clivage gauche-droite, mais aussi un manque criant d’innovation.
La dernière enquête réalisée par le Cevipof montre que 43 % des électeurs sont encore indécis dans leur choix. Elle montre aussi que le vote se fera en grande partie par défaut.
Benoît Hamon lors d’un déplacement à Strasbourg le 23 mars dernier.
Patrick Hertzog/AFP
L’offre politique Macron – « ni de droite, ni de gauche » – a provoqué dans le monde politique des mouvements d’opinion contrastés. Analyse de ce bouleversement à travers le modèle de Hirschman.
Les deux candidats se saluent, lors du débat télévisé du 4 avril 2017.
Lionel Bonaventure/AFP
Moins idéologiques que Fillon et Le Pen, les deux candidats partagent nombre de propositions. Avec un point saillant dans le programme très approfondi de Jean-Luc Mélenchon : la justice.
Au Centre d'accueil et d'orientation pour migrants de Saint-Brévin les Pins, en janvier 2017.
Loïc Venance/AFP
Dans un contexte de forte incertitude électorale, les marges d’erreur des sondages rendent visibles tous les scénarios électoraux potentiels. Les médias devraient publier les résultats avec ces marges.
La Boussole présidentielle montre que le candidat Emmanuel Macron est plus libéral que son allié François Bayrou.
acques Demarthon/AFP
Le placement des onze candidats dans l’espace politique de la Boussole présidentielle révèle des positionnements très marqués. Et quelques surprises, concernant Macron ou Mélenchon.
À la veille de l'élection présidentielle de 2012, le candidat Sarkozy (serre la main à des harkis lors d'une cérémonie de commémoration au camp de Rivesaltes.
Pascal Parrot/AFP
Le cas des harkis illustre l’utilisation de la déformation historique et de la repentance politique à des fins électoralistes, surtout à la veille d’élections.
La façade du ministère de la Culture.
Paul Haahr/Flickr
Michel Wieviorka, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH)
La liquidation du PS est-elle presque achevée ? Beaucoup se pressent pour y concourir, comme si le plus urgent était pour tous ceux-là de saboter la candidature de Benoît Hamon.
Emmanuel Macron, à Rennes en septembre 2016.
Damien Meyer/AFP
Bien qu’assez largement intéressés par l’élection présidentielle (73 %), les plus jeunes ne manifestent pas de réels signes de mobilisation pour la campagne telle qu’elle se déroule.
Les cinq participants au débat inédit du 20 mars 2017 sur TF1.
Patrick Kovarik/AFP
Réductions d’effectifs à droite, défense des fonctionnaires à gauche : au-delà des propositions des uns et des autres, un manque cruel d’imagination apparaît dans les programmes des candidats.
Emmanuel Macron, sur le plateau de TF1, le 12 mars 2017.
Bertrand Guay/AFP
Le vocabulaire économique classique ou plutôt celui de l’entreprise gangrène tous les jours le monde de la chose publique, le monde de la bataille des idées et de la gestion de la cité.
Chercheur associé en science politique au Centre de sociologie des organisations - Chef de projet transition énergétique à France stratégie, Sciences Po