Les mesures d’aides mises en place depuis le printemps indiquent que la priorité reste la relance des moteurs de la croissance plus que leur transformation.
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Certaines analyses estiment qu’un retour à la normale interviendra prochainement tandis que d’autres évoquent un essoufflement du modèle actuel.
Le plan européen décidé fin juillet renforce le caractère fédéral de l’Union qui est, selon la théorie, indispensable à la pérennité de la monnaie commune.
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L’union des transferts prévue dans le texte répond à un premier impératif de la pérennité de la monnaie unique telle que définie par Robert Mundell. Une condition nécessaire, mais pas suffisante.
Le bilan de la banque centrale européenne atteint désormais 50 % du PIB de la zone euro.
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Une telle décision, juridiquement impossible avec les textes actuels, inciterait notamment les États à adopter des politiques budgétaires laxistes.
Les banques ne s’étaient pas préparées à un choc comparable à celui du Covid-19 qui pourrait mener à une crise d’insolvabilité en cas de défaut significatif des emprunteurs, comme en 2008 avec Lehman Brothers.
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Le Covid-19 met à l’épreuve les réformes bancaires entreprises à la suite de la crise de 2008 et révèle la fragilité des dispositifs prudentiels comme des mécanismes de résolution européens.
La banque centrale européenne, en charge de la politique monétaire de la zone euro, a pour objectif principal de maintenir le pouvoir d'achat et donc la stabilité des prix.
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Le « couple franco-allemand » serait à l’origine du plan de relance de l’UE. Ce concept si souvent invoqué mérite d’être analysé de plus près. Que recouvre ce « couple », au juste ?
Fin mars, neuf dirigeants européens ont appelé à lancer ces obligations sous le nom de « coronabonds ».
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La crise sanitaire, mais aussi la perspective d’une instabilité climatique accrue, ouvrent la voie à ces titres de dette commune qui divisent l’Union européenne depuis plus de 25 ans.
La Banque centrale européenne (BCE) a annoncé le mercredi 19 mars un plan d’achat d’actifs de 750 milliards d’euros.
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Sa nomination à la tête de la Banque centrale européenne pose la question d’une représentation féminine qui reste très minoritaire au sein des instances de pouvoir économique.
Le changement de statut juridique d'une banque change la nationalité de son autorité de supervision.
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La relance du programme d’assouplissement quantitatif décidée en septembre dernier a attisé la colère du camp « allemand », que la France rejoint pour la première fois.
(De g. à d.) Olli Kotro, membre du parti conservateur finlandais. Joerg Meuthen, porte-parole de l'AfD en Allemagne. Matteo Salvini, ministre de l'Intérieur italien et Anders Primdahl Vistisen, membre du Parti populaire du Danemark, le 8 avril 2019 lors d'une réunion des nationalistes européens à Milan.
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Aujourd’hui, la devise des nationalistes européens n’est plus « L’Europe, tu l’aimes ou la quittes » mais « L’Europe, tu ne l’aimes pas mais tu ne la quittes pas ».
Malgré les crises à répétition, les projets de changement de gouvernance de la zone euro restent dans les limbes.
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Ce dont l’Europe meurt depuis 20 ans, c’est de l’immobilisme des progressistes autoproclamés qui, tout en clamant être les « bons Européens », sont surtout les défenseurs d’un statu quo intenable.
La question de la gestion européenne d’une crise économique survenant dans un État membre de la zone euro est renvoyée aux calendes grecques.
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Le projet européen s’oriente vers la mise en place d’un budget commun privilégiant la convergence des États membres plutôt que la stabilisation des économies en cas de choc. Explications.
Le pacte de stabilité de la zone euro empêche de répondre à l'ensemble des revendications des « gilets jaunes ».
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Les revendications des « gilets jaunes » illustrent une nouvelle fois le manque de pédagogie de l’exécutif sur le respect des contraintes liées à l’appartenance de la France à la zone euro.
Les propositions d'Olaf Scholz et de Bruno Le Maire, respectivement ministres de l'Économie allemand et français, n'ont pas entièrement convaincu leurs partenaires européens.
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Les propositions franco-allemandes relèguent au second plan l’objectif de stabiliser les économies par un partage des risques entre les pays membres en cas de choc.
Luigi Di Maio (à g.), ministre du Travail et de l'Industrie, et Matteo Salvini, ministre de l'Intérieur, sont aussi chefs de file respectifs des mouvements populistes M5S et Ligue du Nord.
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L’alliance des populistes Ligue du Nord et M5S a donné naissance en Italie à un gouvernement eurosceptique. Quels risques sa politique économique fait-elle courir à l’Italie et à la zone euro ?