Fabrice Raffin, Université de Picardie Jules Verne (UPJV)
Les projets d’énergies renouvelables cristallisent toutes sortes de tensions. Derrière les raisons invoquées par leurs opposants, la conception d’un paysage esthétisé et intouchable.
La méthanisation agricole ne se résume pas à une « énergie verte ». Parfois vue comme un levier pour l'agroécologie, la réalité est, comme souvent, est plus complexe.
Jusqu’alors, la méthanisation a surtout été déployée en France par le secteur agricole. L’obligation de tri des biodéchets peut-elle l’aider à se généraliser, malgré l’opposition récurrente des riverains ?
Elle fait partie des énergies dites « vertes » mais soulève assez fréquemment l’hostilité des communautés locales. Quelles sont les raisons de ce rejet et comment le dépasser ?
La méthanisation est une technique bien connue de valorisation des déchets. Appliquée à l’échelle domestique, elle peut faire partie des solutions visant à réduire la pollution urbaine.
En provenance du jardin ou de la cuisine, les déchets verts et alimentaires peuvent être valorisés… à condition que le tri à la source de ces détritus soit bien mené.
La transformation de matières premières renouvelables pour répondre aux besoins alimentaires et énergétiques représente une opportunité inédite dont les territoires doivent s’emparer sans tarder.
Avec les vents violents qui soufflent sur la France, se repose la question des inégalités géographiques dans l’approvisionnement en électricité. La Bretagne apparaît particulièrement vulnérable.
Philippe Bousquet, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay y Marielle Saunois, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Les émissions atmosphériques de méthane, puissant gaz à effet de serre, ont fortement augmenté. Décryptage de cette situation avec deux chercheurs ayant contribué au récent bilan de ces émissions.
La France est en retard dans le développement des énergies renouvelables, et tout particulièrement dans le domaine de la transformation des déchets organiques, pourtant très prometteur en France.
Enseignant-chercheur, Laboratoire des sciences du climat et de l’environnement (LSCE), Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Professeur, chercheur au Laboratoire des sciences du climat et de l’environnement (LSCE), membre de l’Institut Universitaire de France, auteur contributif d’un chapitre des deux derniers rapports du GIEC, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay