Mélanie Joly, ministre du Développement économique et des Langues officielles, a déposé le projet de loi C-32 sur la réforme de la Loi sur les langues officielles le 16 juin 2021.
LA PRESSE CANADIENNE/Patrick Doyle
Atteindre une égalité réelle entre les langues officielles, c’est donner un coup de pouce au français. À cette fin, le projet de loi C-32 introduit des mesures ambitieuses.
La première communauté de citoyen français, nés en France et vivant à l’étranger, se trouve au Canada et plus précisément au Québec.
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Le profil le plus commun du Français qui vit au Canada est un quadragénaire, né en France, qui travaille et vit au Québec, plus précisément à Montréal!
Avec la situation sanitaire qui empêche les supporters d’aller au stade, la question de la diffusion des matches n’a jamais été aussi essentielle.
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Service personnalisé, plate-forme dédiée… Un rapport sur la consommation audiovisuelle remis au CSA en 2019 pourrait jeter les bases d’un modèle de diffusion de la Ligue 1 inédit.
Créée en 1960 comme université fédérée bilingue, l'Université Laurentienne a rôle historique en tant qu’institution phare de la communauté franco-ontarienne.
Photo tiré du site web de l'Université Laurentienne
Les démarches de l’Université Laurentienne pour se mettre à l’abri de ses créanciers sont un exercice comptable qui lui permet de faire fi de son mandat public à l’égard de la francophonie ontarienne.
Une « dictée pour tous » en octobre 2019, au Château de Versailles.
Thomas Samson/AFP
Le purisme en langue est une attitude valorisée. Pourtant, il a des effets problématiques importants. De quoi le purisme est-il le nom ?
Depuis les années 2005, les adultes migrants en France (hors-Union européenne) doivent signer un contrat d’intégration lors du passage à l’[Office Français de l’Immigration et de l’Intégration.
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Différentes recherches en sciences du langage ou en sociologie, soulignent les limites de la logique « formation en langue = intégration ». Retour sur une thèse qui en explore les effets.
Les applications de traçage des déplacements des citoyens pour lutter contre l’épidémie de Covid-19 ont relancé le débat sur la sécurité des données.
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Une étude mondiale montre que la France fait partie des pays où les usagers ont le moins de réticences à partager une partie de leur vie privée avec des entreprises tierces.
De jeunes acheteurs font la queue pour l'ouverture d'un magasin de vêtements le vendredi noir à Montréal, le vendredi 27 novembre 2020.
LA PRESSE CANADIENNE/Paul Chiasson
Nous devons favoriser le dialogue avec la jeunesse québécoise francophone, anglophone et allophone et l’accompagner dans cette découverte de la richesse de la langue française.
La ministre du Développement économique et des Langues officielles, Melanie Joly, lors d'une période de questions à la Chambre des communes, en novembre 2020, à Ottawa. Son nouveau visant à moderniser la Loi sur les langues officielles est la plus importante proposition sur le statut du français et de l'anglais au Canada depuis l'adoption en 1982 de la Charte des droits et libertés.
La Presse Canadienne/Adrian Wyld
Le projet de loi reconnait que les deux langues ont besoin d’un traitement différent. Cette approche asymétrique aux langues officielles constitue un changement remarquable dans la politique fédérale.
Selon un récent sondage du Commissariat aux langues officielles auprès de fonctionnaires fédéraux, plus de 44 % des francophones sont mal à l’aise d’utiliser le français au travail.
LA PRESSE CNADIENNE/Adrian Wyld
Autant les fonctionnaires francophones qu’anglophones sont mal à l’aise d’utiliser le français dans les milieux de travail où le bilinguisme est requis. Comment s’en sortir ?
Parade de Saint-Nicolas à Nancy, en 2007.
AFP / ean-Christophe VERHAEGEN
La fête de la Saint-Nicolas, célébrée seulement sur une partie du territoire français, est associée à des débats linguistiques dignes du match pain au chocolat vs chocolatine.
Une étude montre que ce sont les jeunes Québécois, en particulier ceux de la grande région de Montréal, qui éprouvent le plus de crainte face à l’avenir du fait français dans la province.
LA PRESSE CANADIENNE/Graham Hughes
La majorité des francophones hors Québec ne croit pas que le français soit en péril, tandis que les Franco-Québécois s’inquiètent de l’avenir de leur langue dans une proportion similaire.
La chute de l’exposition à la langue française pendant le confinement pour les enfants instruits en français inquiète parents et éducateurs. Il faut se servir de la langue pour ne pas la perdre.
Le Premier ministre Justin Trudeau lors de sa conférence de presse quotidienne sur la Covid-19, à Ottawa, le 3 mai. Son gouvernement a adopté un arrêté d’urgence afin d'accélérer l’importation de produits désinfectants et de permettre un affichage unilingue anglais.
La Presse Canadienne/Justin Tang
François Larocque, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa and Linda Cardinal, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa
Les règles d'étiquetage sont essentielles car elles normalisent l’égalité du français et de l’anglais en leur accordant la même visibilité sur les produits. Elles assurent aussi la sécurité du public.
Le premier ministre du Québec, François Legault, discute avec Louise Mushikiwabo, secrétaire générale de la Francophonie, le 11 juin 2019 à Québec.
La Presse Canadienne/Jacques Boissinot
En ce mois du 50ᵉ anniversaire de la Francophonie, il est temps de réfléchir à l'histoire inédite des connexions françaises à travers la frontière canado-américaine.
Poésie, théâtre, roman et littérature d'idées sont les grandes catégories autour desquelles s'organisent les programmes de français au lycée.
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La prescription d’un corpus de textes peut-elle aller de pair avec l’ambition de transmettre le goût de la lecture aux jeunes ? La réforme des programmes de lettres pose la question.
Barbara Cassin entre à l'Académie.
AFP/ François Guillot
Au Sénégal avec 22 langues locales codifiées, la diffusion des textes internationaux pose la question de savoir dans quelle(s) langue(s) les populations doivent être informées.
Des travailleuses de la Northern Electric, à Montréal. Avant la Révolution tranquille, l'anglais était la langue des boss, et il fallait sinon la parler, du moins la comprendre.
. Photo de Parcs Canada - Canal de Lachine
Pour les ouvriers canadiens-français d'avant la Révolution tranquille, l'anglais était la langue des boss, et il fallait sinon la parler, du moins la comprendre.
L'usage des petits mots de la langue française est loin d'être anodin.
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Dire « au coiffeur » : grossière erreur. Dire « chez le coiffeur » : marque de distinction. Mais… pourquoi ? S’est-on déjà posé la question ? Extrait de l’ouvrage à paraître « Le français est à nous ».
Professor, Research Chair in Language Rights, Faculty of Law | Professeur, Chaire de recherche Droits et enjeux linguistiques, Faculté de droit. 2021 Fellow, Fondation Pierre Elliott Trudeau Foundation, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa