Il existe de nombreuses raisons de prendre soin de ses dents et de ses gencives, et certaines ne concernent pas que la bouche…
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S’assurer d’avoir une bonne hygiène bucco-dentaire peut limiter le risque de développer des maladies beaucoup plus graves, ailleurs dans son organisme.
Des recherches ont montré qu’une diminution du volume de l’hippocampe précède les signes de déclin cognitif chez les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer.
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Cette étude montre qu’au moins deux mécanismes différents conduisent au déclin cognitif, tant chez les personnes en bonne santé que chez les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer.
Légende Dans les maladies d’Alzheimer, de Parkinson ou dans d’autres maladies neurodégénératives, les protéines qui s’agrègent dans le cerveau sont appelées « prion-like » car elles peuvent se comporter comme des prions.
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Une étude révèle que des patients traités à l’hormone de croissance ont développé une forme précoce de la maladie d’Alzheimer 40 ans après. On fait le point sur les protéines de type prion en cause.
Lorsqu’un locuteur en bonne santé ne parvient pas à trouver un mot de son lexique qu’il a l’impression de connaître, les spécialistes du langage parlent du phénomène du « mot sur le bout de la langue ».
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Nous avons tous déjà oublié le mot dont nous avions besoin au milieu d’une phrase, et nous connaissons la sensation de l’avoir sur le bout de la langue. Mais quand est-ce que l’on doit s’inquiéter ?
Le manque de sommeil ou sa mauvaise qualité font parties des facteurs de risque de développer la maladie d'Alzheimer. Heureusement, il y a des méthodes pour améliorer son sommeil.
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Le sommeil semble jouer un rôle essentiel dans plusieurs fonctions cérébrales, comme la mémoire. Un sommeil de bonne qualité pourrait donc jouer un rôle primordial dans la prévention de la démence.
Changer son mode de vie peut être la meilleure façon de retarder l’apparition de la démence ou de ne pas la développer du tout.
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Les risques de démence liés au mode de vie sont complexes. Des facteurs tels que le sommeil, l’exercice et l’alimentation interagissent avec la réserve cognitive, la neuroplasticité et l’inflammation.
Des données récentes font soupçonner que certaines maladies dégénératives liées au vieillissement, dont la maladie d’Alzheimer, pourraient être liées à des problèmes de réparation des cassures de l’ADN.
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Michel Bourguignon, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay and Nicolas Foray, Inserm
Alors que les recherches sur les deux principales pistes d’explication de la maladie d’Alzheimer piétinent, des données récentes ouvrent une troisième voie, impliquant des problèmes de réparation de l’ADN.
Et s'il était possible de reconnaître professionnellement le travail et les compétences des proches aidants?
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Les personnes accompagnant et aidant leurs proches face à des difficultés de santé pourraient faire requalifier leur expérience en compétences professionnelles.
Les méthodes expérimentales à notre disposition aujourd’hui permettent ni plus ni moins de « déconstruire » le cerveau en ses composantes élémentaires afin d’en comprendre les fonctions et les dysfonctions.
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À Montréal se trouve l’une des plus importantes banques de cerveaux au monde, la Banque de cerveaux Douglas-Bell Canada. Elle permet des découvertes sur différentes maladies neurologiques et psychiatriques.
Les notaires pourraient bientôt avoir un rôle à jouer dans les demandes anticipées d'aide médicale à mourir anticipée. Mais sont-ils prêts?
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Une formation avec des professionnels de la santé pourrait permettre aux notaires de prodiguer des conseils éclairés à leurs clients et d’être plus à l’aise dans la planification anticipée de l’AMM.
Les facteurs de risque modifiables de la démence sont l'hypertension artérielle, l'obésité, la sédentarité, le diabète, le tabagisme, la consommation excessive d'alcool et le manque de contacts sociaux.
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En encourageant les gens à être physiquement, mentalement et socialement actifs, nous pouvons potentiellement prévenir un nombre important de cas de démence.
Les préoccupations raisonnables que peut susciter la mise en œuvre d’un régime de demandes anticipées ne doivent pas conduire à son rejet catégorique, mais plutôt à son encadrement rigoureux.
L’épuisement que les aidants de malades d’Alzheimer vivent au quotidien est souvent minoré par les termes utilisés, masquant les enjeux dramatiques qu’implique ce statut.
Faites preuve de prudence lorsque vous utilisez du papier d'aluminium pour la cuisson.
La cuisson des aliments dans des casseroles en aluminium n'est pas une mauvaise chose. Mais celle dans du papier d'aluminium peut être une menace sérieuse pour la santé humaine.
La méditation de pleine conscience a des effets positifs sur le stress, la dépression, la gestion de ses émotions, etc.
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En France comme ailleurs, la population vieillit. Préserver la santé mentale des seniors devient donc un défi majeur de santé publique. La méditation offre de réelles perspectives, voici pourquoi.
Le lecanemab est un anticorps qui s’attache aux protéines bêta-amyloïde accumulées dans le cerveau et permettrait au système immunitaire de s’en débarrasser.
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Un traitement de 18 mois au lecanemab ralentit de 27 % la perte fonctionnelle et cognitive chez des personnes atteintes de maladie d’Alzheimer légère. Mais ce n’est que le premier pas vers une véritable cure.
L'origine des atteintes cérébrales de la maladie d'Alzheimer reste méconnue.
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Malgré un siècle d’étude, la maladie d’Alzheimer reste mal comprise et sans solution thérapeutique. Une nouvelle piste, étudiant le déséquilibre cellulaire de métaux (tel le cuivre), est prometteuse.
Le diabète de type 2, caractérisé aux stades avancés par une résistance à l’insuline, constitue un facteur de risque important de l’Alzheimer.
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L’altération des récepteurs de l’insuline au niveau des vaisseaux sanguins entre le sang et le cerveau, contribuerait à la résistance à l’insuline observée dans l’Alzheimer.
Faire régulièrement de mauvais rêves et des cauchemars à un âge moyen et avancé peut être lié à un risque accru de développer une démence plus tard dans la vie.
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Une nouvelle étude révèle que les personnes d’âge moyen qui font des cauchemars chaque semaine sont quatre fois plus susceptibles de connaître un déclin cognitif.
L’excès d’amyloïde bêta dans le cerveau a longtemps été considéré comme la cause principale de la maladie d’Alzheimer. De nouvelles recherches semblent suggérer le contraire.
Psychiatre du sujet âgé, chercheur associé au Laboratoire interdisciplinaire d'étude du politique Hannah Arendt (Université Paris-Est Créteil), co-directeur du département de recherche Éthique biomédicale du Collège des Bernardins, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
Chef de service à l'hôpital gériatrique universitaire Charles Foix (Ivry-sur-Seine) - Professeur de gériatrie à la Faculté de Médecine Sorbonne (Paris), AP-HP