Le contexte pandémique est mondial et le télétravail, qui apparaissait impossible pour certaines organisations a été instauré à l’intérieur de trois jours.
Afin de pouvoir contribuer à la transition écologique, les étudiants en management doivent être formés à l’action collective qu’elle nécessite dans les organisations.
Le prix « Nobel » d’économie 2009, décédé en mai dernier, a notamment proposé des outils d’arbitrage entre la sous-traitance des activités (le marché) et leur réalisation en interne (l’entreprise).
Les risques d’importance majeure, mais dont l’occurrence est faible devraient faire partie de la gestion de risque. En pratique, ce n’est que trop rarement le cas.
Les quelque 5 000 sondés d’une étude menée pendant le confinement ont exprimé en majorité un besoin de proximité similaire à leurs attentes au temps normal.
L’ajustement des ratios comme l’EBIDTA, nécessite une information financière saine et transparente, en précisant aux banquiers et investisseurs les effets dus aux variations économiques erratiques.
Rémy Février, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)
Des attaques contre des hôpitaux, systèmes de santé et l’OMS montrent un changement de paradigme, qui nécessite une évolution du management stratégique.
Selon une étude dont nous révélons les résultats, plus de quatre Français sur dix estiment leur activité essentielle en temps d’épidémie. Trois registres de justification émergent.
Ces dernières années, la recherche d’économies a conduit à une plus grande flexibilité des postes de travail. La crise sanitaire pourrait bien installer cette politique dans la durée.
La crise sanitaire a démontré la nécessité de mettre en place des processus de développement ouverts et distribués déjà à l’œuvre depuis 25 ans dans le monde du logiciel.
Pauline de Becdelièvre, École Normale Supérieure Paris-Saclay – Université Paris-Saclay and François Grima, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
L’épidémie actuelle, vécue comme un choc pour les salariés, engendre une prise de conscience qui peut prendre des formes diverses selon l’âge et la situation professionnelle.
À l’échelle des organisations, le stress peut produire des effets positifs. Il incombe alors aux dirigeants d’apprendre à le canaliser et à mieux le gérer.
Professeur d'économie et de management, Directeur de la Recherche de l’IRIMA, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-Etre au travail et Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)