Des recherches ont montré qu’une diminution du volume de l’hippocampe précède les signes de déclin cognitif chez les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer.
(Shutterstock)
Cette étude montre qu’au moins deux mécanismes différents conduisent au déclin cognitif, tant chez les personnes en bonne santé que chez les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer.
Au-delà des exercices physiques et sportifs, les activités de la vie quotidienne comme marcher, monter les escaliers ou encore faire le ménage peuvent aussi contribuer à la santé de notre cerveau.
lzf/Shutterstock
En favorisant la naissance de neurones, la connexion entre cellules nerveuses ou l’irrigation du cerveau, l’activité physique participe à améliorer nos capacités cognitives. Mais quelle routine adopter au quotidien ?
Les chercheurs se concentrent actuellement sur la création d'une recette idéale et motivante pour l'entraînement des seniors qui combine à la fois des exercices physiques et cognitifs.
PeopleImages.com - Yuri A/Shutterstock
Après 60 ans, l'activité physique classique mais aussi via des jeux vidéo interactifs qui font bouger le corps aide à stimuler les fonctions cérébrales. On fait le point sur les pratiques à privilégier.
Image de microscope où les neurones de l’hippocampe (région essentielle à la mémoire), connectés avec les régions du cortex, sont rendus fluorescents.
Maxime Villet et Clara Sanchez
Dans le cerveau, où est rangée notre mémoire ? En réalité, il n’existe pas de zone dédiée au stockage de nos souvenirs, mais des réseaux de neurones distribués dans tout le cerveau.
Une crampe provoque une douleur intense.
François Dernoncourt
Les crampes ne sont pas dues à un déficit d’hydratation, mais plutôt à des messages nerveux mal régulés.
Les personnes qui sont atteintes de la SLA perdent graduellement la capacité à effectuer des mouvements volontaires en raison d’une perte de communication entre le système nerveux et les muscles.
(Shutterstock)
Une nouvelle étude montre qu’il est possible de réduire les symptômes de la sclérose latérale amyotrophique en diminuant l’inflammation engendrée par les cellules immunitaires dans le cerveau.
De quelle façon l’IA peut-elle bouleverser le monde de la création musicale ?
Paul JF Fleury. Image générée avec DALL·E 2 et Stable Diffusion.
Assistons-nous à une transformation sans précédent de tous les aspects de la création musicale ?
Si la langue est l’organe où l’on trouve le plus de bourgeons gustatifs, responsables du goût, on les retrouve aussi ailleurs dans le corps.
Andriyko Podilnyk/Unsplash
Les bourgeons gustatifs, les structures qui nous permettent de sentir le goût, ne se trouvent pas que sur la langue. Les scientifiques en ont identifié dans d’autres parties du corps.
Avec ses 302 neurones (ici rendus fluorescents en vert), Caenorhabditis elegans constitue un modèle particulièrement simple mais éclairant pour comprendre les mécanismes neurobiologiques.
Heiti Paves/Wikimedia Commons
C. elegans a beau être minuscule, c’est une star des laboratoires. En modélisant son système nerveux, les scientifiques veulent en apprendre plus sur les mécanismes qui fondent nos comportements.
La variété des modes de vision dans le règne animal est incroyable.
Marina Vitale/Unsplash
Nos yeux n’ont pas besoin de mode d’emploi pour fonctionner. Mais quels processus sont à l’œuvre ? Et que pouvons-nous apprendre des yeux d’autres espèces vivantes ?
20% de l'énergie que nous ingérons sert à alimenter notre cerveau.
Tijana Moraca/Shutterstock
Pour les personnes paralysées, il serait très utile de pouvoir contrôler des bras ou des jambes robotisés, c’est le principe des interfaces cerveau-machine.
Les méthodes expérimentales à notre disposition aujourd’hui permettent ni plus ni moins de « déconstruire » le cerveau en ses composantes élémentaires afin d’en comprendre les fonctions et les dysfonctions.
Shutterstock
À Montréal se trouve l’une des plus importantes banques de cerveaux au monde, la Banque de cerveaux Douglas-Bell Canada. Elle permet des découvertes sur différentes maladies neurologiques et psychiatriques.
Le « jamais-vu » survient lorsque quelque chose qu’on sait être familier semble tout à coup irréel ou nouveau. La principale explication scientifique du phénomène est la « satiation », qui consiste en une surcharge d’une représentation jusqu’à ce qu’elle en perde toute signification.
(Shutterstock)
Vous est-il déjà arrivé de regarder un visage familier et de le trouver soudainement inhabituel ou inconnu ? Il s’agit peut-être d’un cas de « jamais vu ».
Les neurones artificiels peuvent-ils servir de modèle pour comprendre les vrais neurones ?
GDJ/Pixabay
L’IA permet-elle de modéliser certaines pathologies neurologiques ? La question peut se poser pour l’épilepsie, où le cerveau a une activité excessive… Quelles sont les limites aux comparaisons ?
Nous sommes capables de percevoir des températures différentes de façon très sensible.
Rawpixel/Shutterstock
Malgré un siècle d’étude, la maladie d’Alzheimer reste mal comprise et sans solution thérapeutique. Une nouvelle piste, étudiant le déséquilibre cellulaire de métaux (tel le cuivre), est prometteuse.
Le diabète de type 2, caractérisé aux stades avancés par une résistance à l’insuline, constitue un facteur de risque important de l’Alzheimer.
(Shutterstock)
L’altération des récepteurs de l’insuline au niveau des vaisseaux sanguins entre le sang et le cerveau, contribuerait à la résistance à l’insuline observée dans l’Alzheimer.
L’excès d’amyloïde bêta dans le cerveau a longtemps été considéré comme la cause principale de la maladie d’Alzheimer. De nouvelles recherches semblent suggérer le contraire.
Jeune chercheur ATER terminant une thèse en neurosciences, au sein du Laboratoire de Neurosciences Cognitives, de l’Institut de Neurosciences des Systèmes et de l’Institut des Sciences du Mouvement, Aix-Marseille Université (AMU)
Professeur des Universités en Physiologie de l'Exercice / Neurosciences Intégratives, Directeur Unité Recherche EuroMov Digital Health in Motion, Université de Montpellier
Directeure de Recherche, Equipe ImpAct, Centre de Recherche en Neurosciences de Lyon, CNRS, Université Claude Bernard Lyon 1, Université Jean Monnet, Inserm
Directeur de l'unité Neuropsychologie et imagerie de la mémoire humaine, Inserm, Ecole Pratique des Hautes Etudes, Université de Caen Normandie, Université de Caen Normandie