Seulement 15 % des entreprises manufacturières ont un investissement immatériel non nul chaque année et près de 40 % de cet investissement est réalisé par les grandes entreprises.
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Les chefs d’entreprise français revoient à la baisse des projets pourtant indispensables à la transition numérique et énergétique, au risque de perdre encore plus en compétitivité.
Les gouvernements divergent sur les moyens économiques d’organiser la recherche contre le virus.
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Les chefs d’État restent divisés sur la manière optimale de produire et de fournir à la population un produit comme un vaccin. Les économistes aussi.
Puisqu’il ne nécessite que peu de ressources humaines pour fonctionner, le transport international de marchandises a été relativement épargné par la crise du coronavirus.
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L’absence locale de ressources clés et les enjeux géopolitiques freinent notamment le raccourcissement des chaînes d’approvisionnement.
A défaut de pouvoir lire dans des boules de cristal, les économistes restent en mesure de décrypter les mutations en cours et d'accompagner la prise de décision politique.
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Aussi soudaine qu’inédite, la crise que nous traversons interroge la pertinence de la prévision économique et invite les experts à faire preuve d’une grande humilité.
Au regard des statistiques, les scenarios de rétablissement « en Z » ou de reprise rapide « en V » restent peu crédibles.
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Face aux ruptures de stocks et pénuries, il semble pertinent pour les entreprises de diversifier les sources d’approvisionnement et pour les États de consolider une politique commerciale régionale.
Les agents économiques sont plongés dans un contexte d'incertitude qui limite la consommation et l'investissement.
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L’hypothèse d’un retour de l’inflation du à un rebond de l’économie et une augmentation de la demande après la pandémie reste peu probable.
Quand la Covid-9 est arrivée à nos portes, les consommateurs ont commencé à stocker des produits comme du papier toilette, ce qui a perturbé la chaîne d’approvisionnement et encombré nos espaces de vie. Ce n’est pourtant pas nécessaire.
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La chaîne d’approvisionnement du papier hygiénique fonctionne en mode « juste-à-temps », ce qui donne de la souplesse et permet aux étalages de rester garnis. La pandémie a perturbé ce processus.
La crise met en exergue tous les risques inhérents à la délocalisation de la production, notamment des biens de première nécessité.
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Les chaînes de valeur globales qui caractérisent nos économies mondialisées sont aujourd’hui mises à mal par les dépendances que révèle cruellement la pandémie.
Un homme dans la rue à La Défense à Paris, au premier jour du confinement en France.
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La crise sanitaire met en lumière le cycle vicieux entre croissance mondialisée, changement climatique et épidémie, et invite à repenser un nouveau paradigme économique.
Foxconn, le sous-traitant d'Apple, ne capterait que 4% de la valeur ajoutée de l’iPhone.
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Avec l’essor des activités numériques, les entreprises capturent de plus en plus de valeur en amont (R&D, conception) et en aval (marketing et services) du cycle productif.
Plus des trois quarts des entreprises américaines envisagent une récession avant la mi-2021.
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Aux États-Unis ou encore en Europe, les entreprises revoient actuellement leurs politiques financières face à une période attendue de croissance plus faible.
Conférence de presse avec l'équipe de l'épisode IX, le 4 décembre à Pasadena en Californie.
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À l’occasion de la sortie du film « Star Wars : l’Ascension de Skywalker », décryptage du succès de la saga la plus iconique et la plus rentable de tous les temps.
Vous n'êtes pas sûr de payer votre sapin au juste prix ? L'équation d'Hotelling modifiée par Faustmann peut vous aider !
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Les Français sont aujourd’hui davantage prêts à la sobriété énergétique qu’à la réduction de leur consommation d’objets. Les auteurs du livre « Du gaspillage à la sobriété » expliquent pourquoi.
Les volumes récoltés en France devrait reculer de 12% cette année par rapport à 2018.
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Au-delà des mauvaises récoltes annoncées pour 2019, la filière est en proie à des problèmes structurels dont la résolution nécessite de rompre avec de vieilles habitudes.
La réalité augmentée a notamment des applications en matière de modélisation.
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David Moroz, South Champagne Business School (Y Schools) – UGEI and Bruno Pecchioli, South Champagne Business School (Y Schools) – UGEI
La filière française reste naissante mais elle peut se targuer de nombreux atouts, de la céréale au tonneau en passant par le savoir-faire en matière de production de spiritueux.
Entre 1996 et 2017, cette multinationale dit avoir réduit ses émissions de gaz à effet de serre de 96%.
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Depuis 1995, ce fabricant américain innove pour réduire son empreinte carbone recyclant, par exemple, des filets de pêche. Prochaine étape : des produits à impact positif !