Les désaccords entre les quatre grands courants de l’historiographie française trouvent des prolongements dans les positionnements des principaux candidats à la présidence de la République.
Des étudiants, lors d'un cours dans un amphithéâtre de l'Université Paris 1 Panthéon Sorbonne (octobre 2013).
Camille Stromboni/Flickr
Le système d’admission des élèves à l’université après le bac est « à bout de souffle ». Comment concilier des aspirations individuelles avec un système de places ? Voici six solutions possibles.
Le fronton de l'Assemblée nationale, à Paris.
Mathieu Thouvenin/Flickr
Nous confions les manettes du pays à des représentants dont nous ne savons quasiment rien. Et s’ils passaient un test psychométrique sérieux afin qu’ils découvrent leur « vraie » nature ?
A l'Assemblée nationale passe par les femmes.
Martin Bureau/AFP
La féminisation et le rajeunissement ont été présentés comme un signe de diversification alors qu’ils recouvraient une fermeture historique du recrutement politique en termes sociaux.
L'éphémère garde des Sceaux, François Bayrou, lors de la présentation du projet de loi.
François Guillot/AFP
La « moralisation » ou la « confiance » ne peut servir simplement de slogan. La défiance à l’égard de la politique instituée ne se résorbera que par des résolutions tenaces et avisées.
Edouard Philippe (de dos) et Emmanuel Macron, sous les yeux de François de Rugy, président de l'Assemblée nationale.
Philippe Wojazer/ POOL / AFP
Jusqu’à quand durera la discipline de la majorité actuelle qui doit son élection au Président Macron et joue donc, pour l’instant, le rôle des godillots des premiers temps de la Vᵉ République ?
Emmanuel Macron, devant le Congrès, lundi 3 juillet, à Versailles.
Martin Bureau/AFP
Notre vie politique s’accommode mal d’une parole politique modeste et économe de ses concepts. Le risque est grand alors de verser dans des propos qui sont, par nature, totalement irréfutables.
Emmanuel Macron, le 1er juillet, au Parlement européen de Strasbourg.
Sébastien Bozon / AFP
À l’opposé de la « présidence normale » de son prédécesseur, le président Macron souhaite renouer avec la conception présidentialiste des institutions voulue par le général de Gaulle.
Un bateau de l'association Greenpeace India, ONG dans le viseur des autorités.
Salvatore Barbera/Flickr
Éléments-clés du corpus doctrinal du nouveau quinquennat,la valorisation et la légitimation de la société civile interviennent à un moment délicat pour les associations sur le plan international.
Le Palais Bourbon (ici en 2006).
tamadhanaval/Flickr
Les électeurs viennent de la renouveler profondément, et même comme jamais ils ne l’avaient fait sous la Vᵉ République, pas même en 1958 lors du retour au pouvoir du général de Gaulle.
Louis XIV tenant les sceaux en présence des conseillers d'Etat et des maîtres des Requêtes . Peinture de l'école française (XVIIᵉ).
Château de Versailles/Christian Jean
Aujourd’hui, les remaniements ministériels rythment notre vie politique. Qu’en était-il sous l’Ancien Régime ? Et comment cette pratique évolue pour tenter de correspondre à la société contemporaine ?
Le Président qui dynamiste la Vᵉ République.
Christophe Archambault/AFP
Macron tente d’établir un centre parlementaire, une expérience inhabituelle sous la Vᵉ République, mais connue depuis Cicéron jusqu’à la IIIᵉ République, en passant par Machiavel et Bonaparte.
Le Président Macron, dimanche 11 juin, à la sortie de son domicile du Touquet.
Philippe Huguen / AFP
En atomisant les formations traditionnelles, Emmanuel Macron peut faire de La République en marche ! un axe central et durable de la vie politique, et rebâtir ainsi durablement l’échiquier partisan.
Les bulletins blancs ou nuls devraient orienter ce 7 mai, d’une manière tout à fait inédite dans l’histoire du vote en France, les résultats du scrutin.
Comment intensifier la politique et redynamiser le débat englué dans les affaires et les promesses sans lendemain ? Et si on se tournait du côté du football pour trouver la réponse ?
Panorama de l'hémicyle de l'Assemblée nationale.
Richard Ying et Tangui Morlier
Pierre Bréchon, Auteurs historiques The Conversation France
Nombre d’électeurs se sentent plutôt de droite ou plutôt de gauche, tout en estimant que les gouvernants mettent en œuvre des politiques semblables lorsqu’ils sont au pouvoir.
Vladimir Poutine reçoit François Hollande, le 26 novembre 2015, au Kremlin.
Kremlin/Wiikimedia
Le chef ne peut pas faire n’importe quoi. Corps et comportement lui sont dictés par des attentes inscrites dans la culture politique de ses concitoyens ou de ses sujets. En France comme en Russie.
Marianne sur la colonne des Girondins, à Bordeaux,
Patrice Catalayu/Flickr
L’élection au suffrage universel peut et doit être maintenue, à condition d’entreprendre des réformes tenant compte de la tripolarisation politique et des nouvelles exigences morales.
Professeur de théologie à la la Faculté Notre-Dame, co-directrice du séminaire de recherche Ecole et république du Collège des Bernardins, Collège des Bernardins
Professeur en sciences de l'éducation, Institut Catholique de Paris, Co-directeur du séminaire de recherche Ecole et république, Collège des Bernardins
enseignant en relations internationales (Sciences Po) - responsable de l'unité d'enseignement "aire juridique et administrative'" (Master Lisi, UFR EILA, Université Paris VII Denis DIderot), Sciences Po
Sociologue, professeur à l'UC Louvain, membre associé à l'URMIS, affilié à l’Institut Convergences Migrations, Université catholique de Louvain (UCLouvain)