Augmentant les risques de cancer et de maladies cardiovasculaires, la consommation de charcuterie fait aussi s’élever le risque de maladies respiratoires chroniques.
En octobre 2019, dans les environs de Mulhouse.
Sébastien Bozon/AFP
Ces accords de libre-échange accentuent le déséquilibre entre les différents acteurs des marchés agricoles mondialisés, aux dépends des agriculteurs.
Consommer trop de protéines animales accroit les risques de développer un large éventail de maladies chroniques en raison des acides aminés contenus dans la viande, révèle une étude.
Shutterstock
Consommer trop de protéines animales accroit les risques de développer un large éventail de maladies chroniques en raison des acides aminés contenus dans la viande, révèle une étude.
Un ouvrier pousse un chariot devant les étals de Gage street, le site de l'un des plus anciens wet markets de Hong Kong.
Anthony Wallace / AFP
Les médias véhiculent des représentations exotiques et sensationnalistes des marchés aux animaux chinois qui peuvent empêcher d’appréhender correctement les causes d’émergence des nouveaux virus.
La viande artificielle pourrait bientôt se retrouver dans les rayons des supermarchés.
Shutterstock
À en croire certains, la viande « cultivée » en laboratoire n’aurait que des avantages : fin de la maltraitance animale, préservation de l’environnement… Mais la réalité est moins idyllique.
Une image de la série Santa Clarita Diet.
Capture d'écran
Le scientifique suédois Magnus Soderlund a récemment questionné les freins symboliques, économiques et sanitaires qui entourent le cannibalisme : décryptage.
Devriez-vous reposer cette tranche ?
Wesual Click / Unsplash
En octobre, un article scientifique concluant qu’il n’est pas nécessaire de limiter sa consommation de viandes rouges ou transformées a déclenché un tollé. Décryptage d’une polémique inutile.
Manger de la viande rouge est-il sécuritaire, comme l'affirme une récente étude, ou l'inverse? La science de la nutrition connaît des ratés, en raison des -trop nombreuses- exceptions.
Shutterstock
Une politique nutritionnelle universelle n’a pas plus de sens que de calculer la pointure moyenne d’une population et de recommander que tout le monde porte cette pointure.
80 % du soja utilisé en France est importé, et 50 % de ces importations proviennent du Brésil, où ce produit constitue le premier facteur de déforestation. En France, il sert essentiellement à l'alimentation du bétail.
Shutterstock
La stratégie nationale de lutte contre la déforestation importée est ambitieuse, mais manque de moyens et de cohérence avec la politique menée.
Un taureau broute dans le pâturage d'une ferme près de Crémone, en Alberta, après que les Chinois aient annoncé l'interdiction d'importation de viande canadienne. Elle pourrait frapper durement le secteur agroalimentaire, dépendant des exportations vers la Chine.
La Presse Canadienne/Jeff McIntosh
Les exportateurs canadiens de bœuf et de porc dépendent de plus en plus de la Chine. C'est pourquoi le différend diplomatique entre les deux pays est si inquiétant pour le secteur agroalimentaire.
Que faut-il savoir du cholestérol ?
Stephanie McCabe/Unsplash
Dans le dernier numéro de « PuMS », Boris Hansel et son équipe démêlent le vrai du faux à propos du cholestérol, en s’appuyant sur les dernières découvertes scientifiques.
La marque de fast-food Burger King propose des burgers végétaliens aussi juteux que la viande.
Getty Images North America/AFP
Proposer un burger végétal dont l’apparence, le goût et l’odeur ressemblent à s’y méprendre à du bœuf, tel est le défi qu’entend relever la start-up Impossible Foods.
Aleph Farms est l’une des start-up en pointe en matière de viande in vitro.
Aleph Farms
De nombreuses start-up se lancent à l’assaut de la « viande in vitro », et les investisseurs se jettent dessus. Une industrie qui pourrait révolutionner le monde de la viande… mais à quel prix ?
Plus que de diminuer leur consommation de viande, les carnivores sont prêts à privilégier une viande produite dans de meilleures conditions environnementales.
Shutterstock
Les enjeux environnementaux nous invitent à changer nos habitudes alimentaires, et notamment notre consommation de viande. Dans quelle mesure les consommateurs sont-ils prêts à y renoncer ?
Il y a des changements évidents dans la consommation de viande. Mais elle n'est pas alimentée par une augmentation du véganisme et du végétarisme.
Shutterstock
L’après-viande est déjà là, mais tout le monde ne veut pas forcément manger du soja, des insectes, des vers ou de la spiruline. Trois chercheurs sondent l’avenir des protéines que nous avalons.
En Europe, la libération d’une vaste surface de terres au cours des 40 dernières années a permis le retour d’ours, de loups et de lynx sur le continent.
Volodymyr Burdiak/Shutterstock
Si la biodiversité est menacée en Europe, des changements dans les mentalités et les modes de consommation ainsi que de nouveaux usages des terres agricoles aident à rester optimistes.
Pour maximiser la santé humaine et sauver l’environnement, le rapport EAT estime qu'un steak par semaine serait le quota à respecter pour chacun.
Shutterstock
Nos habitudes alimentaires doivent s’adapter aux réalités environnementales et démographiques. Mais mettre de côté notre héritage alimentaire constitue une grave erreur.
La consommation de viande aurait baissé de 10 % en France depuis les années 2010.
Shutterstock
Malgré son ancrage profond dans la culture française, les enjeux environnementaux et sanitaires autour de la viande affectent sensiblement sa consommation en France.
Professeur de psychologie sociale, membre honoraire de l’Institut universitaire de France (IUF), directeur de la MSH Alpes (CNRS/UGA), Université Grenoble Alpes (UGA)
Chercheur en biochimie, responsable du laboratoire « Stress oxydant et détoxication », Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA)