Menu Fermer

Articles sur élections

Affichage de 301 à 320 de 473 articles

Manifestation contre l'élection d'Ibrahim Boubacar Keïta, le président du Mali, le 15 septembre 2018. Michèle Cattani/AFP

Le Mali, une démocratie élective sans électeurs

Plusieurs semaines après le vote, l’opposant Soumaïla Cissé continue à mobiliser ses partisans partout au Mali et dans plusieurs capitales étrangères pour dénoncer une élection fraudeuse.
Horst Seehofer (ici en 2016), le leader de la CSU, allié de plus en plus encombrant d'Angela Merkel. Andreas Khol/Flickr

En Allemagne, une scène politique de plus en plus éparpillée

Le réveil de l’extrême droite en Saxe et Saxe-Anhalt confronte l’Allemagne à un phénomène minimisé depuis des années, celui de la radicalisation de l’extrême droite néonazie.
Donald Trump, aux côtés de son épouse, en Pennsylvanie, le 11 septembre 2018. Nicholas Kamm/AFP

Donald Trump, en difficulté, pour la première fois

Alors que la désapprobation grondait face à sa querelle post-mortem avec McCain, le livre de Woodward a fait germer l’idée que Donald Trump pourrait être quelqu’un de peu sûr de lui et de manipulable.
Emmanuel Macron à Versailles, le 9 juillet 2018. Charles Platiau / AFP

Emmanuel Macron à Versailles : plus près des étoiles

Si tout repose sur l’affirmation d’une incurie radicale de ses prédécesseurs, il va devenir de plus en plus difficile au fil de ces rendez-vous annuels à Versailles de tout expliquer par le passé.
Ghassan Salamé, le 29 mai 2018, lors de la Conférence de Paris sur la Libye. Etienne Laurent / POOL / AFP

Libye: la mission impossible de Ghassan Salamé

Il y a une erreur de méthode, adoptée par l’Onu pour sortir la Libye de la crise: il ne suffit pas d’organiser au plus vite des élections pour que tous les problèmes soient résolus.
Luigi Di Maio (à gauche), avec l'avocat et membre de son parti, le Mouvement 5 étoiles, Giuseppe Conte, pressenti pour le poste de Président du Conseil. Filippo Monteforte/AFP

L’Italie, nouveau laboratoire de l’« orbanisation » de l’Europe

Une alliance contre-nature, mais conforme au message des électeurs, se met en place à la tête de l’Italie, rassemblant le Mouvement 5 étoiles et la Ligue.
Jair Bolsonaro, le leader de l'extrême droite au Brésil, avec des élèves de l'école militaire de Brasilia, le 19 avril 2018. Evaristo Sa/AFP

Jair Bolsonaro, l’extrême droite à la conquête du Brésil

Avec la quasi mort politique de Lula, Jair Bolsonaro est passé de challenger à favori. Mais le Brésil est-il prêt à faire de l’extrême droite brésilienne la première force politique du pays ?
Luigi Di Maio, le dirigeant du M5S, à Naples le 4 mars. Il est l'un des gagnants du scrutin de dimanche. Carlo Hermann/AFP

L’Italie à l’heure des tractations… et des règlements de comptes

Arrivé en tête, le M5S doit trouver des alliés. À gauche, le départ de Matteo Renzi est acté, tandis que Silvio Berlusconi et Matteo Salvini vont se disputer le leadership de la droite.
Olaf Scholz (à droite), le leader par intérim du (SPD), aux côtés du trésorier du parti, Dietmar Nietan, le 4 mars, à Berlin, à l'annonce des résultats. Michael Kappeler/AFP

Allemagne : les adhérents du SPD disent oui à « la voie de la raison »

Les rapports entre les deux formations de la coalition gouvernementale risquent d’être plus conflictuels que dans le passé parce que le SPD, affaibli, cherchera à s’affirmer contre la CDU-CSU.

Les contributeurs les plus fréquents

Plus