Notre système politique sort du premier tour éreinté et profondément divisé. Les positions combinées de chacun face à quatre clivages expliquent le vote mais ne favoriseront pas la gouvernance du pays.
Démonstration des capacités de Watson dans le jeu « Jeopardy ! » en 2011.
Rosemaryetoufee / Wikimedia commons
Dans un monde complexe, où il est difficile d’analyser globalement une situation et les impacts d’une décision, l’intelligence artificielle pourrait être un nouvel outil au service des politiques…
À Lyon, le 11 avril dernier.
Jean-Philippe Ksiazek/AFP
Un nombre de non-inscrits plus important que lors des précédents scrutins présidentiels, le poids des affaires et le brouillage gauche-droite : le taux d’abstention pourrait atteindre un pic.
Comment intensifier la politique et redynamiser le débat englué dans les affaires et les promesses sans lendemain ? Et si on se tournait du côté du football pour trouver la réponse ?
Avner Bar-Hen, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)
Vote préférentiel, vainqueur de Condorcet, théorie de l’électeur médian… Quand les maths nous en disent plus sur la politique et les élections. Éclairant !
Hervé Le Bras, Auteurs historiques The Conversation France
C’est bien connu, les pauvres votent FN… Sauf qu’il s’agit, en bonne partie, d’une idée reçue. La géographie du Front national est celle des territoires démunis, ce qui n’est pas la même chose.
À la veille de l'élection présidentielle de 2012, le candidat Sarkozy (serre la main à des harkis lors d'une cérémonie de commémoration au camp de Rivesaltes.
Pascal Parrot/AFP
Le cas des harkis illustre l’utilisation de la déformation historique et de la repentance politique à des fins électoralistes, surtout à la veille d’élections.
Martin Schulz (ici en 2014), du Parlement européen à la chancellerie ?
Giuseppe Cacace/AFP
Martin Schulz, le nouveau dirigeant du SPD, n’a pas encore gagné et Merkel, pas déjà perdu. Mais il a déjà sorti son parti du purgatoire, tandis que le camp Merkel se divise.
François Fillon dans la tourmente.
Pietro Piupparco/Flickr
Où l’on fait appel à la mythologie (et à l’histoire symbolique) pour analyser le contexte et les ressorts de la position de François Fillon. Pas si faible qu’elle en a l’air.
Home sweet home : l'idéal de placement de l'épargne des candidats.
anonymous09210716/Flickr
Analyse des patrimoines déclarés par les candidats à l’élection présidentielle. Où l’on trouve beaucoup de pierre et peu d’épargne investie dans les entreprises.
Benoît Hamon, le candidat PS, en butte à une série de « trahisons » dans son propre camp.
Philippe Lopez/AFP
La montagne des primaires a accouché de deux figures étranges : à gauche, un candidat engoncé dans un costume trop grand pour lui ; à droite, un candidat revêtu d’un costume taché.
Marionnette ancienne de Guignol à Lyon.
Luc Legay/Flickr
S’agissant d’un événement unique – une élection présidentielle – la notion de probabilité, si elle donne une appréhension de ce qui devrait se passer, ne dit rien sur ce qui va vraiment se passer.
Emmanuel Macron, à Rennes en septembre 2016.
Damien Meyer/AFP
Bien qu’assez largement intéressés par l’élection présidentielle (73 %), les plus jeunes ne manifestent pas de réels signes de mobilisation pour la campagne telle qu’elle se déroule.
Les cinq participants au débat inédit du 20 mars 2017 sur TF1.
Patrick Kovarik/AFP
L’élection au suffrage universel peut et doit être maintenue, à condition d’entreprendre des réformes tenant compte de la tripolarisation politique et des nouvelles exigences morales.
Geert Wilders (de dos) au soir des législatives du 15 mars : « Le génie ne retournera pas dans la lampe. »
Robin Utrecht /AFP
Le soupir de soulagement poussé par l’Europe après les législatives est mal avisé : au-delà des urnes, Geert Wilders a réussi à imposer ses idées et ses thèmes dans le paysage politique néerlandais.
Honoré Daumier, « Dernier conseil des ex-ministres ».
BNF
Antoine Bevort, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)
Si l’on se fie aux données d’engagement sur les réseaux sociaux, le parti de Geert Wilders deviendra le premier parti au soir du 15 mars. Mais il risque de rester aux portes du pouvoir.