Une part de subjectivité importante joue dans la perception des odeurs désagréables. Ce qui n’empêche pas la recherche sur les nuisances olfactives d’émerger peu à peu.
L’expertise universitaire, l’exigence journalistique
Articles sur nez
Ensemble des articles
Les plantes ne produisent pas des odeurs pour plaire aux humains mais pour attirer des pollinisateurs qui assureront leur reproduction.
Derrière la simplicité apparente de la perception des odeurs se cachent des mécanismes chimiques complexes.
Le mucus joue un rôle important dans la façon dont le système immunitaire se débarrasse des germes et lutte contre les infections.
En secret, dans la voiture ou sur des serviettes de table, nous le faisons tous. Et pour être franc, c’est très satisfaisant.
Les contributeurs les plus fréquents
-
Pediatric Nurse Practitioner, Adjunct Instructor of Nursing at Purdue Global, Purdue University
-
Professeur de Biochimie et Biologie Moléculaire, Université de Bourgogne
-
Doctorante en biologie végétale, Institut de recherche pour le développement (IRD)
-
Professor of Molecular Evolution, Macquarie University
-
Professor of Earth Sciences and Executive Director, Environmental Resilience Institute, Indiana University
-
Chief Environmental Scientist, EPA Victoria; Honorary Professor, School of Natural Sciences, Macquarie University
-
Enseignant-chercheur en chimie analytique et environnementale, Université Le Havre Normandie
-
Enseignant-chercheur en analyse sensorielle dans le domaine des arômes, parfums et cosmétiques, Université Le Havre Normandie
-
Docteur en chimie, Université Le Havre Normandie
