De nouvelles données cliniques établissent un lien entre les modifications de la composition du microbiome intestinal et le développement de diverses maladies de la peau telles que l’eczéma.
On a tendance à croire que le tatouage est un phénomène moderne, mais il était déjà populaire au XIXème siècle. Et les motivations pour se faire tatouer n’étaient pas si différentes…
Au fil de la journée, nous passons un certain temps à nous gratter plus ou moins consciemment, y compris en l’absence de réelles raisons. Pourquoi ce besoin machinal de nous triturer la peau ?
Si la xénotransplantation s’est récemment développée avec des greffes de cœurs ou de reins porcins, la chirurgie reconstructive espère aussi utiliser de la peau animale pour soigner les plaies les plus graves.
Alors qu’une semaine ou deux suffisent généralement pour les draps, il est préférable de laver les serviettes tous les deux jours. Voici les explications d’un microbiologiste.
Parmi la vaste gamme de produits de maquillage disponibles sur le marché, certains sont plus susceptibles de contenir des composés toxiques ou d'irriter la peau.
En été, les coups de soleil nous guettent… Que se passe-t-il dans notre peau quand ils surviennent ? Quels sont les différents niveaux de brûlure et leurs conséquences, immédiates et à long terme ?
Shaina Gabriel, Université du Québec en Outaouais (UQO); Annie Aimé, Université du Québec en Outaouais (UQO) et Aurelie Baillot, Université du Québec en Outaouais (UQO)
Le surplus de peau est associé à des problèmes psychologiques, physiques et fonctionnels. Il est donc important d’en parler, et d’offrir plus de soutien et d’information aux patients.
Un bain de soleil… et vous voilà ébouillanté. Petit rappel sur l’origine de cette rougeur cuisante et ses conséquences à court et long terme. Épargnez-vous bien des soucis et protégez-vous !
Le mélanome cutané est le cancer de la peau le plus agressif. Origines, risques familiaux et individuels, traitements… Que sait-on aujourd’hui à son sujet ?
Les modélisations jusque-là utilisées pour prédire l’évolution des vagues de variants du SARS-CoV-2 avaient des limites. Comment un nouveau modèle issu de la démographie permet d’y remédier.
Nous ne sommes pas tous égaux face aux moustiques. Non seulement certaines peaux les attirent davantage, mais de plus, les réactions à leurs piqûres varient d’une personne à l’autre.
Virologiste - Responsable de l'équipe "Trafic viral, restriction et immunité innée", Institut de Recherche en Infectiologie de Montpellier (IRIM), Inserm