Les conditions d’une importante sécheresse semblent être réunies en France, où les réserves en eau souterraine montrent notamment d’importants déficits sur une large partie du territoire.
Une bonne gestion de l’eau, couplée à la végétalisation, aide les villes à résister aux dérèglements climatiques. À ce titre, une initiative australienne apporte des solutions concrètes inspirantes.
Une gestion efficace des ressources en eau requiert la mise en place d’un système de responsabilité mutuelle entre les responsables municipaux, provinciaux et nationaux.
Le développement de la réutilisation des eaux usées reste très inégal au niveau mondial. Le Koweït, Israël et Singapour figurent parmi les pays les plus avancés dans le domaine.
Le stockage de l’eau dans des réservoirs est aujourd’hui la principale réponse aux sécheresses : elle n’est pourtant pas toujours efficace voire peut accroître la dépendance à l’eau.
Les systèmes d’approvisionnement en eau n’ont pas été conçus pour répondre aux évolutions météorologiques provoquées par le changement climatique. Il est désormais nécessaire de les adapter.
En cette Journée mondiale de l’eau, retour sur la lutte contre le choléra. Si l’efficacité de certaines interventions fait débat, la remise en état des réseaux d’eau donne des résultats pérennes.
La théorie, la modélisation climatique et les observations semblent tendre vers la même conclusion : les pluies continueront à s’intensifier dans le futur sous l’effet du réchauffement global.
Dans des eaux où les nutriments et les molécules chimiques sont toujours plus présents, des bactéries toxiques peuvent se développer et compromettre les activités estivales.
Professeur des Universités, Exobiologiste au Laboratoire Atmosphères Modélisaton et Observations Spatiales (LATMOS), Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay