Longtemps attendu, le débat sur l’entreprise qui se tient dans le cadre de la loi PACTE pourrait être l’occasion de repenser sa place dans la société. Le point de vue du RIODD sur la question.
La proposition de créer un comité des parties prenantes spécifiques, moins radicale qu’une réécriture des articles 1832 et 1833 du code civil aidera à reconsidérer la finalité de l’entreprise.
Pour réduire l’impact de son activité sur l’environnement, une entreprise doit prendre en compte non seulement les effets générés par sa production, mais aussi la fin de vie de ses produits.
Les femmes repreneuses des entreprises familiales représentent toujours une minorité, les fils étant généralement préférés aux filles en termes de succession.
Pour bien comprendre la réforme en cours, retour sur les projets successifs, les analyses des chercheurs et les attentes des diverses parties prenantes.
Avant la présentation de la loi PACTE, en avril, le débat sur l’objet social de l’entreprise va s’intensifier. Avec, en creux, une question : qui doit bénéficier de la valeur produite ?
Dans la lutte contre les dérèglements climatiques, les entreprises ont un rôle crucial à jouer. Il passe par la mise en place d’une organisation et d’une production soucieuse des impacts écologiques.
Plutôt que de craindre la déshumanisation du travail, ou de chercher à tout prix une libération du salariat, proposons une utopie réaliste où chacun trouverait un travail permettant de vivre.
De l’intérêt d’une concertation franco-allemande autour des projets de réforme de l’entreprise. Dans le cadre de la « consolidation de l’espace économique franco-allemand ».
Cette année sera décisive pour les négociations climatiques avec la parution du nouveau rapport du GIEC à l’été et la tenue de la COP24 en Pologne en décembre prochain.
Après les consultations achevées en décembre et d’autres en cours, le plan d’action pour la croissance et la transformation des entreprises, devrait aboutir à un projet de loi au printemps.
L’enquête du dernier trimestre 2017 montre un optimisme sans précédent en Europe, une accélération du rythme des innovations et le souhait des responsables financiers de réduire leur temps de travail.
Nous sommes entrés dans une nouvelle ère qui voit un nombre croissant d’entreprises actives et/ou anticipatrices sur le sujet de la religion au travail.
Le projet de pacte mondial pour l’environnement propose d’aller plus loin que l’Accord de Paris en matière de droit international de l’environnement, en consacrant le rôle des acteurs privés.
Souvent considéré comme un frein à la lutte contre le changement climatique, le secteur privé a pourtant profondément changé d’attitude à l’égard du climat et des risques associés.
Les Nations unies doivent prochainement publier une base de données sur les groupes privés présents dans les Territoires occupés palestiniens. Israël et les États-Unis s'y opposent.
On peut aimer son métier et pourtant en souffrir. Autrement dit, entretenir avec lui un rapport ambivalent. Aux chercheurs en sciences du travail de trouver comment mieux protéger ces salariés.
Les « Paradise Papers » ne font pas que révéler des pratiques d’optimisation fiscale. Ils montrent aussi que ces pratiques sont le fruit d’un processus d’industrialisation de l’opacité financière.
Professeur d'économie et de management, Directeur de la Recherche de l’IRIMA, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-Etre au travail et Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)
Professeur senior d’analyse financière, d’audit et de risk management - Directrice de Programme pour le MSc Fashion Design & Luxury Management- Responsable de la spécialisation MBA "Brand & Luxury Management", Grenoble École de Management (GEM)