Liberté d’expression, défense de ses convictions, capacité à s’opposer à l’autorité… Les valeurs de la figure mythologique restent difficiles à transposer dans les organisations.
L’engouement médiatique autour de la dirigeante néo-zélandaise, qui a accouché cet été, illustre en creux les difficultés des femmes qui choisissent de faire carrière sans sacrifier leur vie de mère.
Michel Capron, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
Le texte, voté à l’Assemblée nationale début octobre, n’éclaire pas sur ce que devraient être les finalités d’une société en tant que personne morale. C’était pourtant le point le plus attendu.
Les entreprises peinent à retenir et à fidéliser les développeurs. Une meilleure compréhension de leurs attentes implicites renforce pourtant leur engagement à long terme. Aux RH de jouer…
La politique du gouvernement en faveur de l’innovation oblige les entreprises occidentales à déployer des stratégies de rétention des compétences face à la concurrence des firmes locales.
Les éliminations spectaculaires des équipes ayant triomphé quatre ans plus tôt sont riches d’enseignements sur ce qu’il faut faire et ne pas faire lorsque l’on est une entreprise leader sur un marché.
Bonheur au travail, méditation, « core competences »… Selon la théorie, les entreprises ont succombé aux dernières tendances en matière de management. En pratique, c’est nettement moins évident.
En 1951, l’économiste Joseph Schumpeter expliquait que le capitalisme « éliminait les éléments vieillis en en créant continuellement des nouveaux ». Une théorie mise à mal par le contexte actuel.
Damien Chaney, South Champagne Business School (Y Schools) – UGEI
En demandant aux consommateurs de financer leurs projets, les entreprises se placent dans une situation de dépendance qui modifie le rapport de force traditionnel.
L’État intervient souvent pour soutenir les entreprises en difficulté, mais ne pourrait-il aussi pousser les entreprises prospères à faire mieux ? Deux fonctionnaires inventent une nouvelle voie.
Les résultats d’une expérience menée par des chercheurs de l’Université Clermont Auvergne mettent en évidence l’existence d’une « pure prime éthique » dans la valorisation des entreprises.
Un comité de l’ONU a donné raison à Fatima Afif, licenciée de la crèche Baby-Loup pour avoir refusé de retirer son voile. Un évènement qui complique encore la gestion du fait religieux en entreprise.
Si la téléphonie mobile a transformé en profondeur les activités informelles en Afrique, les usages se caractérisent aujourd’hui par une grande hétérogénéité. Étude de cas à Dakar, au Sénégal.
Et si le management, pour se débarrasser de son image pseudo-scientifique, devenait « evidence-based », à l’instar de la médecine ? Une transformation nécessaire, mais difficile à mettre en œuvre.
Ni gaulliste ni bonapartiste, le macronisme révèle un mode « corporate » d’exercice du pouvoir, qui se nourrit du modèle organisationnel des grands groupes privés.
Selon une récente étude, seuls 10 % des salariés français se sentent engagés dans leur travail. Le désengagement semble parfaitement accepté par nos organisations. Pourquoi ?
La méditation de pleine conscience commence à pousser la porte de l’entreprise.Comment s’initier à cette nouvelle pratique ? Comment la pratiquer correctement ? Et surtout, qu’en attendre ?
Professeur d'économie et de management, Directeur de la Recherche de l’IRIMA, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-Etre au travail et Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)
Professeur senior d’analyse financière, d’audit et de risk management - Directrice de Programme pour le MSc Fashion Design & Luxury Management- Responsable de la spécialisation MBA "Brand & Luxury Management", Grenoble École de Management (GEM)