Début mars, Donald Trump mettait en scène la signature des mesures protectionnistes visant à taxer les importations d'acier et d'aluminium.
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La politique économique de Donald Trump est contradictoire. En fragilisant les chaînes mondiales de valeur dans lesquelles les États-Unis sont intégrés, elle pourrait desservir le pays. Explications.
Le porte-container danois Cornelia Mærsk à l'ancre dans la baie de Nakhodka, Japon.
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Citant explicitement l’accord de Paris sur le climat, le traité de libre-échange UE−Japon fait la part belle au développement durable. Il pourrait changer radicalement le commerce international.
Le protectionnisme des États-Unis censé protéger les travailleurs américains pourrait plutôt leur nuire.
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Donald Trump a décidé de jouer la carte d’un protectionnisme agressif, au risque de déclencher une violente guerre économique. Des solutions alternatives sont pourtant possibles.
Donald Trump a mis sa menace à exécution : les États-Unis ont augmenté les droits de douane sur l'acier et l'aluminium importés. Le point sur cette guerre des taxes en cinq questions.
Condamnée par nombre d’économistes, l’annonce sur l’acier ne peut exonérer les grandes puissances commerciales d’une part de responsabilité dans la hausse de la conflictualité de l’économie mondiale.
Le siège de la Commission européenne de Bruxelles.
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Les Français aspirent à autre chose que cette alternative que les uns et les autres leur proposent avec opiniâtreté. Un grand débat public, ouvert et démocratique devrait avoir lieu.
Pourquoi un citoyen libéral et pro-européen ne peut pas (encore) fêter la victoire de Macron au premier tour des élections présidentielles en France.
Les pays de l'UE laissent-ils entrer trop facilement les importations sur leur territoire ? Pas sûr. (Ici dans le port de Rotterdam.)
Frans Berkelaar/Flickr
L’Union européenne pèche-t-elle par naïveté en ne se protégeant pas suffisamment des importations ? Une comparaison entre les politiques commerciales des blocs met à mal cette idée reçue.
Dans le ciel de Berlin, le 26 mars 2017.
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D’où vient ce malaise qui entoure la construction européenne ? Comment expliquer ce sentiment des peuples selon lequel la libre circulation vient éroder la cohésion nationale ?
Optimisme et agacement : tel apparait le cliamt des affaires aux Etats-Unis au premier trimestre 2017.
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L’enquête Duke University–Grenoble École de Management sur le climat des affaires au premier trimestre 2017 montre un mélange d’optimisme et d’agacement face à la politique économique américaine.
Manifestation des opposants au CETA devant le Parlement européen à Strasbourg le 15 février 2017.
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Si l’Europe souffre de son incapacité à entrer dans la mondialisation, les États-Unis payent, à travers leur présente ivresse politique, la facture d’un espoir insensé dont Clinton fut le Candide.
World trade ou protectionisme ?
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L’ouverture des marchés n’est pas un argument polémique, pas plus que le fruit d’une décision politique rose ou bleue marine, elle est une simple obligation juridique.
La vision du libre-échange des supporteurs de Noam Chomsky (illustration de 2006).
Christopher Dombres/Flickr
Le débat en France néglige des phénomènes pourtant centraux et qui sortent de la seule question du choix entre libre-échange et protectionnisme : les politiques commerciales sont toujours mixtes.
Professeur d'économie et de management, Directeur de la Recherche de l’IRIMA, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-Etre au travail et Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)