Il est des terrains de jeu sur lesquels l’intelligence artificielle, fût-elle équipée de robots, ne part pas (encore) gagnante, même si les progrès sont rapides et impressionnants.
Une trousse numérique composée de textes, de capsules sonores, de vidéo, de portraits d’auteurs et de graffitis poétiques propose une nouvelle approche de la littérature.
Ce processus neurotypique – une reconnaissance oculaire du général au particulier – vient en quelques sorte confirmer la pertinence des techniques de lecture rapide.
Et si l’acoustique, la lumière, l’espace, la lutte contre la sédentarité étaient aussi corrélés à la réussite scolaire ? De nombreux travaux de recherche vont dans ce sens.
Une équipe de chercheurs canadiens en collaboration avec un artiste sculpteur, Philip Beesley, ont mis au point une sculpture robotique interactive capable de curiosité.
Le pessimisme demeure trop souvent associé au travail en France. Avant d’affiner l’analyse dans trois futures chroniques, nous proposons ici un retour sur les fondements culturels de ce pessimisme.
Nous avons souvent tendance à nous placer dans le rôle de l’émetteur alors qu’il est plus efficace, pour des expériences d’apprentissage, de se placer parmi les éléments.
Les écritures en miroir des enfants sont longtemps restées mystérieuses. Des observations récentes, à la fois du traitement cérébral et des écritures, conduisent à une explication inattendue.
La modélisation numérique en trois dimensions (3D) permet aux étudiants qui ne disposent pas de certains prérequis d’apprendre l’anatomie différemment.
Dorénavant incontournable dans notre paysage musical, le rap fait progressivement son entrée dans les écoles, tous niveaux et toutes matières confondus.
La lecture ne nous est pas innée. Il a fallu des milliers d’années de pratique pour que nous puissions forger des connexions dans notre cerveau qui nous aident à y parvenir.
Notre cerveau conserve sa plasticité, même à un âge avancé. Si ses performances peuvent diminuer, il les compense lors d’un nouvel apprentissage grâce aux connaissances tirées de notre vécu.
Alban Lemasson, Université de Rennes 1 - Université de Rennes and Martine Hausberger, Université de Rennes 1 - Université de Rennes
Capable de percevoir les sons mais aussi le ressenti de sa mère, le fœtus les associe et les garde en mémoire. Un apprentissage qui aura, à la naissance, un impact sur ses réactions.
Né dans les années 1950, le concept de réseau de neurones artificiels a beaucoup progressé. Aujourd’hui connu sous le nom de « deep learning », il a investi de nombreux domaines, dont celui de la finance.
Plusieurs méthodes permettent d’apprendre à un algorithme à apprendre. Au lieu de nourrir un modèle avec des données, ce sont ces dernières qui le déterminent.
Jeune chercheur ATER terminant une thèse en neurosciences, au sein du Laboratoire de Neurosciences Cognitives, de l’Institut de Neurosciences des Systèmes et de l’Institut des Sciences du Mouvement, Aix-Marseille Université (AMU)