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Articles on sclérose latérale amyotrophique

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Les personnes qui sont atteintes de la SLA perdent graduellement la capacité à effectuer des mouvements volontaires en raison d’une perte de communication entre le système nerveux et les muscles. (Shutterstock)

Une nouvelle étude prometteuse pourrait mener à une réduction des symptômes de la sclérose latérale amyotrophique

Une nouvelle étude montre qu’il est possible de réduire les symptômes de la sclérose latérale amyotrophique en diminuant l’inflammation engendrée par les cellules immunitaires dans le cerveau.
Légende Dans les maladies d’Alzheimer, de Parkinson ou dans d’autres maladies neurodégénératives, les protéines qui s’agrègent dans le cerveau sont appelées « prion-like » car elles peuvent se comporter comme des prions. Roman Bodnarchuk/Shutterstock

Protéines de type prion : quels liens avec Alzheimer et d’autres maladies neurodégénératives ?

Une étude révèle que des patients traités à l’hormone de croissance ont développé une forme précoce de la maladie d’Alzheimer 40 ans après. On fait le point sur les protéines de type prion en cause.
Les neurones moteurs des patients atteints de sclérose latérale amyotrophique dégénèrent progressivement, ce qui les prive peu à peu de l’usage de leurs muscles. David Herraez Calzada/Shutterstock

Sclérose latérale amyotrophique : quelles pistes thérapeutiques ?

Les origines de la sclérose latérale amyotrophique, maladie qui s’attaque aux neurones moteurs, sont encore mal connues et son pronostic demeure très sombre. Mais des pistes thérapeutiques existent.
L'éminent astrophysicien Stephen Hawking, décédé en avril 2018, a souffert d'une forme rare de SLA, de début précoce et d'évolution lente. Andrew Cowie / AFP

Maladie de Charcot : 150 ans après sa découverte, que savons-nous ?

Aussi connue sous le nom de sclérose latérale amyotrophique, la maladie de Charcot est aujourd’hui encore incurable. Mais la recherche progresse.
Les organisateurs des essais cliniques peuvent trouver des volontaires grâce aux groupes de patients existant sur Internet, par exemple sur Facebook. Shutterstock

Les volontaires pour les essais cliniques, bientôt recrutés sur les réseaux sociaux ?

Jusqu’ici, les patients étaient sollicités par des médecins pour participer à des études scientifiques. Ils seront bientôt contactés en direct, ce qui implique des garde‑fous pour éviter les abus.

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