Élodie Gavrilof, Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco)
L’enclave arménienne située en Azerbaïdjan est actuellement coupée de tout approvisionnement en nourriture. Une crise humanitaire majeure pourrait rapidement s’y faire jour.
Parmi les combattants ayant rejoint le front en Ukraine, on retrouve notamment des anarchistes biélorusses, passés pour certains par le Kurdistan syrien, où ils ont affronté Daech.
Les forces russes en Ukraine sont profondément divisées. Le Kremlin tente d’y remédier, mais la rébellion du groupe Wagner a pris tout le monde par surprise.
Alors que l’Ukraine contre-attaque, et frappe même le territoire russe, l’élite moscovite constate avec inquiétude que les radicaux exigent une escalade rapide.
À proximité de Tchassiv Yar, où les combats font rage, un hangar abrite une vingtaine de combattants, qui s’y reposent un peu avant de retourner sur la ligne de contact.
Les récits des combattants ukrainiens font voisiner l’horreur et l’absurde. Comme cette effarante histoire de poulet et de chien dans une tranchée, sous les yeux d’un conscrit qui perd la raison…
De nombreux pays tentent de proposer leurs bons offices pour jouer les médiateurs entre Moscou et Kiev. Mais le temps de la diplomatie n’est pas encore venu.
Hemedti a su utiliser son sens des affaires et ses prouesses militaires pour faire de sa milice une force plus puissante que l’État soudanais en déclin.
Enclavés à l’intérieur de l’Azerbaïdjan, les Arméniens du Haut-Karabakh sont coupés de l’aide extérieure par un blocus exercé depuis décembre sur le corridor de Latchine, leur seul lien avec Erevan.
Au-delà des trois scénarios les plus probables – victoire russe, victoire russe, enlisement –, la guerre en Ukraine pourrait réserver des surprises stratégiques qu’il convient d’évaluer.
En l’absence d’espoir politique et de perspective de paix, et privée de soutien international, la jeunesse palestinienne risque de renouer avec la lutte armée.
L’examen du classement mondial des pays selon le degré de corruption que vient de rendre public Transparency International confirme que la corruption alimente la guerre, et réciproquement.
Maitre de conférences en sciences de la communication, Chercheur au PREFICS (Plurilinguismes, Représentations, Expressions Francophones, Information, Communication, Sociolinguistique), Université Rennes 2
Analyste en géopolitique, membre associé au Laboratoire de Recherche IAE Paris - Sorbonne Business School, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, chaire « normes et risques », IAE Paris – Sorbonne Business School
Historienne, professeure des universités. Directrice de l'Observatoire des États post-soviétiques (équipe CREE), Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco)
Doctorante associée à l'Institut de Recherche Stratégique de l'École Militaire en science politique et relations internationales (CMH EA 4232-UCA), Sciences Po