Les résultats d’une enquête récente menée en Nouvelle-Aquitaine montrent l’ampleur des violences conjugales au sein de couples âgés notamment dans les zones rurales isolées.
Lorsque la politique s’exprime sur la « ruralité » elle tend à méconnaître les conditions d’existences des jeunes ruraux, mais surtout gomme les fractures qui existent au sein même de ce large groupe.
Dans un contexte de crise pour les espaces ruraux, une traversée de l’histoire de la chasse permet de mieux comprendre comment cette pratique est devenue un support de l’identité.
Pendant le confinement, les habitants des campagnes ont cruellement ressenti l’entrave à leur mobilité, mais également développé des formes de solidarités locales.
Un dispositif résidentiel original voué à susciter de nouvelles perceptions des lieux, une autre dynamique culturelle véhiculée par une création-recherche in situ
La densité des villes est soupçonnée d’avoir participé à la propagation du virus. La crise questionne nos modèles d’urbanisme, trop centrés sur la densification des métropoles.
Avec le confinement, le rêve du retour à la campagne a émergé dans l’esprit de nombreux citadins. Mais à quoi ressemblerait une France dont la densité serait mieux répartie entre villes et campagne ?
Les conflits entre propriétaires saisonniers et résidents ruraux à l’année mettent en évidence la dualité entre le « droit d’être rural » et l’embourgeoisement provoqué par l'arrivée des citadins.
En France un nombre croissant de personnes quittent les espaces métropolitains pour emménager dans les grandes périphéries, et ce en choisissant d’autres styles de vie, notamment l’autonomie.
Le Brexit a une signification particulière pour les 757 citoyens britanniques actuellement élus en France, dont le mandat expire lors des prochaines élections municipales en mars.
Sur les hauts plateaux malgaches, la crise économique a souvent pour conséquence la déscolarisation des enfants, appelés à aider leurs parents aux champs.
La crise est le fruit de nombreuses évolutions économiques et sociologiques au cours des dernières décennies, dont la profession a été l’une des premières victimes.
Le contrat entre l’école et la société mériterait une mise au point en profondeur, car il ne repose plus sur une évidence comme cela a été assez largement le cas avant les années 1960.
Chargée de recherche à l’Institut national de la jeunesse et de l’éducation populaire, associée au CERLIS et à l’INED (unité Genre, sexualité, inégalités), Université Paris Cité