Les bouteilles et les emballages utilisent des codes pour montrer que les vignerons répondent aux attentes des consommateurs, y compris en matière d’environnement.
Kolli Inès, Université du Québec à Montréal (UQAM); Amélie Guèvremont, Université du Québec à Montréal (UQAM) et Fabien Durif, Université du Québec à Montréal (UQAM)
Plusieurs marques prônent la consommation responsable auprès de leurs clients. Cette stratégie de sobriété, perçue positivement par les consommateurs, devient un outil de différentiation.
Les propositions commerciales des marques à l’occasion de la « journée internationale de la femme » sont plus généralement critiquées qu’elles ne sont couronnées de succès.
Les expériences négatives d’achat de produits vantés par les stars des réseaux sociaux incitent certains consommateurs à entrer en résistance face aux nouvelles pratiques du marketing en ligne.
Selon un sondage, le marketing est associé à des termes connotés négativement. Mais il remplit deux fonctions légitimes : informer les consommateurs et transformer les marchés.
Les préoccupations climatiques, sanitaires ou encore géopolitiques favorisent l’adoption de comportements plus responsables tout en favorisant certaines attitudes hédonistes.
La mise en récit de la communication, au travers l’émotion qu’elle génère, permet de proposer des messages plus riches de sens et d’aborder des sujets plus complexes.
Les distributeurs cherchent à répondre aux nouvelles habitudes de consommation en s’appuyant sur les marques régionales de terroir, une stratégie « omnicanale » et la donnée client.
Les jeunes ont intégré les plates-formes de troc et de ventes d’occasion à leurs habitudes. Cette tendance signe-t-elle pour autant un basculement vers une consommation plus responsable ?
Une étude montre que les ménages se montrent sensibles à une information générique pour prendre conscience des enjeux puis à une information personnalisée au moment d’adopter les technologies.
Les créateurs de robots d’apparence humaine veulent nous familiariser avec la présence des robots dits sociaux dans notre quotidien en les dotant d’une illusoire sentience.
Selon différents travaux de recherche, privilégier les courses en ligne ou faire ses achats dans des lieux calmes et lumineux permet au consommateur d’éviter les décisions erronées…
L'astroturfing est une pratique qui consiste à usurper l'identité citoyenne à des fins politiques ou commerciales afin de manipuler l'opinion publique.
Nombre inhabituel de retweets, message « émotionnel », émetteur non joignable… Les opérations à base de faux avis en ligne présentent quelques caractéristiques décelables.
À rebours des techniques de communication et de publicité actuelles, les produits monastiques, comme d’autres, bénéficient d’une valorisation qui repose sur la discrétion.
Professeur senior d’analyse financière, d’audit et de risk management - Directrice de Programme pour le MSc Fashion Design & Luxury Management- Responsable de la spécialisation MBA "Brand & Luxury Management", Grenoble École de Management (GEM)