Les zones côtières d'Afrique de l'Ouest subissent une pression intense due à la croissance démographique, à l'expansion économique et au changement climatique en cours.
IRD
Olusegun Dada, Institut de recherche pour le développement (IRD); Frédéric Ménard, Institut de recherche pour le développement (IRD); Pierre Morand, Institut de recherche pour le développement (IRD), dan Rafael Almar, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Les écosystèmes côtiers sont soumis à des pressions intenses, provoquées par une activité humaine incessante, des tendances climatiques changeantes et des phénomènes météorologiques extrêmes.
Des fidèles font la queue pour se laver les mains avant la prière du vendredi à la mosquée des Mourides à Dakar, le 15 mai 2020.
John Wessels/AFP
Bernard Taverne, Institut de recherche pour le développement (IRD); Gabriele Laborde-Balen, Institut de recherche pour le développement (IRD), dan Khoudia Sow, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Analyse anthropologique de la façon dont la population sénégalaise a vécu la première vague de l’épidémie (mars-novembre 2020).
Le monument aux morts Demba et Dupont, érigé à Dakar en 1923, rend hommage aux tirailleurs sénégalais de la Première Guerre mondiale. Mais ce corps militaire a été créé plusieurs décennies plus tôt, et le capitaine Mamadou Racine y a servi à la fin du XIXe siècle.
Seyllou/AFP
L’étude de la vie de Mamadou Racine Sy, qui fut un pionnier pour les soldats noirs au sein de l’armée française, met en lumière les ambiguïtés du rapport aux « indigènes » durant l’époque coloniale.
Comme l'homme à gauche sur cette photo prise le 3 mars dernier à Dakar pendant une manifestation en soutien à l'opposant Ousmane Sonko, les contestataires sénégalais sont nombreux à relayer la contestation sur les réseaux sociaux.
John Wessels/AFP
La mobilisation d’une partie de la population sénégalaise contre le pouvoir du président Macky Sall doit beaucoup à l’inventivité et au dynamisme des internautes.
Ousseynou Badiane, responsable du programme de vaccination du Sénégal, ouvre la porte d'une chambre froide nouvellement construite à l'hôpital Fann de Dakar le 22 janvier 2021. Ces chambres froides permettront de stocker le stock de vaccins contre la Covid-19 du pays.
John Wessels/AFP
Présentation des résultats d’une enquête récente dont il ressort que la population sénégalaise est loin d’être totalement convaincue par la nécessité de se faire vacciner.
Un fidèle âgé d'une mosquée à Dakar se lave les mains avant la prière le premier jour de la levée de l'interdiction sur les rassemblements, le 12 mai 2020 à Dakar.
John Wessels/AFP
Gabriele Laborde-Balen, Institut de recherche pour le développement (IRD); Bernard Taverne, Institut de recherche pour le développement (IRD), dan Khoudia Sow, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Comment les personnes âgées ont-elles vécu le phénomène épidémique au Sénégal ? Une étude anthropologique livre quelques réponses très édifiantes.
Un migrant du Sénégal secouru à bord du navire de l'ONG Sea Watch 3, le 31 janvier 2019 au large des côtes du sud-est de la Sicile en Italie.
Federico Scoppa/Afp
Nelly Robin, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Comment comprendre les motivations de candidats à l’émigration issus d’horizons géographiques et sociaux variés ? La parole des personnes concernées déconstruit certaines idées reçues sur la question.
Des jeunes pêcheurs se réunissent, le 17 novembre 2020 à Mbour (un des plus grands lieux de départ des migrants clandestins) avec des politiciens pour discuter des moyens de créer des emplois afin de prévenir l'émigration irrégulière.
John Wessels/AFP
Nelly Robin, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Au-delà des aspects économiques, la pression des parents, les relations de voisinage et le regard de la société poussent aussi les Sénégalais à tenter l’aventure en Europe au péril de leur vie.
Les pèlerins entrent dans la Grande Mosquée de Touba le 28 octobre 2018, le jour du Grand Magal des Mourides.
Seyllou/AFP
Cheikh Sokhna, Institut de recherche pour le développement (IRD)
La célébration du Magal de Touba devra nécessairement intégrer des mesures visant à atténuer le risque de transmission de la Covid-19. Voici quelques recommandations utiles.
Des Sénégalais à l'intérieur du Marché de Grand Dakar le 12 mai,
après l'assouplissement des mesures de lutte contre la COVID-19 par l'ouverture des marchés six jours par semaine et des lieux de culte.
John Wessels/AFP
Valery Ridde, Institut de recherche pour le développement (IRD); Adama Faye, Institut de santé et développement; Amadou Ibra Diallo, Institut de santé et développement; Emmanuel Bonnet, Institut de recherche pour le développement (IRD); Ibrahima Gaye, Institut de santé et développement; Jean Augustin Diégane Tine, Université Cheikh Anta Diop de Dakar, dan Mouhamadou Faly Ba, Institut de Recherche en Santé, de Surveillance Epidémiologique et Formation (IRESSEF)
Un sondage d’opinion révèle pour la première fois la perception qu’a la population sénégalaise des mesures prises par le gouvernement pour lutter contre la Covid-19.
La soutenabilité de la dette des pays à faible revenu est aujourd’hui menacée par les besoins de financement pour lutter contre la pandémie.
Eduardo Soteras/AFP
Marc Raffinot, Université Paris Dauphine – PSL; Babacar Sène, Université Cheikh Anta Diop de Dakar, dan Marin Ferry, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Le moratoire sur les intérêts de la dette accordé par les organismes internationaux leur confère un rôle de « donneurs en dernier ressort » qui facilite le remboursement des créanciers privés.
Des maisons en ruine du quartier de Gokhou Mbathe (à Saint Louis du Sénégal ) qui ont été abandonnées à cause de l'avancée de la mer.
Seyllou/AFP
Djiby Sambou, Université Amadou Mahtar MBOW de Dakar
La Langue de Barbarie à Saint-Louis du Sénégal est fréquemment soumise à des inondations fluviales imputables au changement climatique. Les populations tentent tant que bien que mal de faire face.
Cérémonie de remise de cartes aux bénéficiaires enrôlés dans l'Unité départementale d'assurance maladie par la mairie de NIoro
La reprise des activités au Sénégal et dans beaucoup de pays africains rend encore plus urgente la modernisation du secteur informel pour créer les conditions d’une relance « post-Covid-19 ».
Des agents de santé se préparent à effectuer des prélèvements sur des patients dans un service de Covid-19 qui abrite des cas suspects à l'hôpital de Pikine à Dakar.
John Wessels/AFP
Bien que les agents de santé communautaires jouent un rôle de premier plan dans le système de santé au Sénégal, ils sont les grands oubliés de la gestion du Covid-19.
Etudiants logeant au CROUS de Poitiers, début avril: Nelly (Burundaise), Khaled (Algérien), Chris (Togolais), Papa Oumar (Sénégalais), Michel (Guyane française), Oumar (Nigérien), Maurin (Gabonais).
P.O Ndiaye
Laissé·e·s à leur sort par leurs États d’origine et ignoré·e·s sur les questions de précarité par leur État d’accueil, les étudiant·e·s africain·e·s en France sont les parents pauvres de la crise sanitaire.
Le marché du quartier populaire de la Médina à Dakar, vide après sa désinfection.
John Wessels/AFP
La crise économique impose des choix difficiles à la plupart des pays. Les pays d’Afrique de l’Ouest doivent trouver l’équilibre qui permettra d’éviter une asphyxie de l’économie informelle.
Une femme marche entre deux motos-taxis sur une voie ferrée qui mène à la gare de Thiès.
Seyllou/AFP
Aliou Ndao, Université Gaston Berger dan Jérôme Lombard, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Les motos-taxis gagnent de plus en plus en popularité dans les villes secondaires du Sénégal. Ils sont, toutefois, à l’origine de nombreux accidents.
Le ministre sénégalais de la Santé, Ablaye Diouf Sarr, lors d'une conférence de presse le 2 mars 2020 après que le premier cas de Covid-19 au Sénégal a été confirmé.
Seyllou/AFP
La pandémie de Covid-19 donne lieu à de nombreuses rumeurs et les mesures recommandées par les autorités ne sont pas toujours respectées, du fait d’une communication perfectible.
Le marché populaire du quartier de la Médina à Dakar le 18 mars 2020.
John Wessels/AFP
Si on peut comprendre l’utilité épidémiologique des mesures de distanciation sociale pour lutter contre le Covid-19 au Sénégal, leur acceptabilité sociale et culturelle reste à démontrer.
Anthropologue, Centre Régional de Recherche et de Formation à la prise en charge Clinique de Fann (CRCF, Dakar), Institut de recherche pour le développement (IRD)