Au carrefour des sciences de la Terre, de la Vie et de l’Homme, le Muséum national d’histoire naturelle se consacre quotidiennement – et ce depuis près de 400 ans – à la nature et à ses relations avec l’espèce humaine. Le Muséum offre une formation au niveau de la mention de master « Évolution, Patrimoine naturel, Sociétés » et de l’École doctorale 227 « Sciences de la Nature et de l’Homme ».
La prise de conscience environnementale et la sauvegarde de la planète sont au cœur des débats contemporains. Totalement engagé sur ces questions, le Muséum occupe une position de référence grâce à des missions variées : la recherche fondamentale et appliquée, la conservation et l’enrichissement des collections, l’enseignement, l’expertise et la diffusion des connaissances.
Centre de recherche, le Muséum s’appuie sur des travaux en laboratoire et des expéditions dans le monde entier, un grand éventail de disciplines, des collections exceptionnelles et une expertise reconnue. À travers l’enseignement ou les actions de diffusion, il a également pour mission de partager ses savoirs. Avec un objectif clair : rendre les connaissances sur la nature accessibles à tous et sensibiliser le plus grand nombre à la protection de notre planète.
Une des particularités du Muséum est de répartir son activité sur 12 sites dans toute la France. Son cœur historique est situé à Paris, au Jardin des Plantes, qui accueille des laboratoires, des galeries d'exposition, une ménagerie ou des lieux d’enseignement. Citons également deux autres lieux parisiens incontournables, le Parc Zoologique de Paris et le Musée de l’Homme (réouverture prévue pour octobre 2015). Mais il reste encore à découvrir dans tout l’Hexagone deux stations marines, un arboretum, un parc zoologique, des jardins botaniques, un chantier de fouilles préhistoriques, des laboratoires…
Tamolia ancalogon, Acledra nazgul… L’univers de JRR Tolkien inspire les scientifiques quand il s’agit de baptiser de « nouvelles espèces ». Pourquoi un tel engouement ?
Les substances interférant avec notre système hormonal affecteraient le cerveau en construction du fœtus, selon certaines études. Une question abordée dans le documentaire d'Arte Demain tous crétins ?
Qui donne son nom de baptême à une espèce vivante ? Sur quels critères ? Explications avec un ver tout plat, homonyme d’un certain président américain… Première chronique « En direct des espèces ».
De Wever Patrick, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) and Stan Finney, California State University, Long Beach
Si l’influence de l’homme sur notre planète ne peut être contestée, pourquoi vouloir à tout prix la qualifier d’ère géologique ? Elle a sa place dans le calendrier de l’histoire humaine.
De Wever Patrick, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) and Stan Finney, California State University, Long Beach
L’ère de l’humain – ou Anthropocène – peut-elle être considérée comme une ère géologique ? La thèse qui séduit mais fait débat parmi les scientifiques.
De Wever Patrick, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) and Stan Finney, California State University, Long Beach
L’Anthropocène, ou « ère de l’humain » est un concept avancé par certains scientifiques, et devenu très populaire. Pour l’évaluer, passage en revue de la notion d’échelle des temps géologiques.
Le créationnisme prêche sans relâche contre l'évolutionnisme. Y compris en France, surtout du côté musulman. Pour le contrer, il faut renforcer l'enseignement des sciences expérimentales.
Flora Pennec, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) and Serge Bahuchet, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Au cœur de l’Amérique latine, êtres humains et plantes ont construit au fil des ans une relation complexe, fondée sur une connaissance profonde de la nature.
Shelly Masi, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Les populations de primates sont en grave déclin. Les grands singes, nos cousins, risquent de disparaître… La situation est critique. Une primatologue de terrain nous raconte.
The Conversation avait été le premier média à évoquer la présence à Paris d’une espèce invasive, la punaise diabolique. Nos lecteurs s’y sont intéressés et ont fait œuvre de science participative.
La punaise diabolique, de son nom scientifique Halyomorpha halys, est aujourd’hui présente dans des jardins parisiens. Appel à la vigilance contre cette espèce invasive.
Grâce aux nouvelles technologies autour de la 3D, l’histoire naturelle se révèle dans ses détails insoupçonnés. Au bénéfice de la recherche comme du public des musées.
Claire Villemant, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) and Quentin Rome, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Un premier nid de frelons asiatiques vient tout juste d’être découvert dans Paris. Cet insecte est-il dangereux ? D’où vient-il ? Jusqu’où ira-t-il ? Quels sont les moyens de lutte ?
Comment une meilleure prise en compte des insectes, et a travers eux, de l’ensemble de la biodiversité et des écosystèmes, peut aider à comprendre et mieux gérer la planète.
Romain Garrouste, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) and André Nel, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Ce n’est pas tous les jours que l’on découvre un nouvel ordre d’insectes, aujourd’hui disparu : d’extraordinaires fossiles ont été découverts dans l’ambre de Birmanie de l’époque du Crétacé.
Fabrice Demeter, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
I would like to rectify a couple of statements made by Darren Curnoe in his recent Conversation article which, in turn, was a reaction to an article I published recently with my colleagues in Proceedings…
Anthropologue et démographe, professeur émérite au Muséum national d’histoire naturelle et conseiller de la direction de l'INED, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Professeur du Muséum national d'Histoire naturelle, Professeur invité aux universités de Gdansk (Pologne) & Viçosa (Brésil), Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)