Créée en 1872, Sciences Po est une université qui se place parmi les meilleures en sciences humaines et sociales tant sur le plan national qu’international.
À ses 13 000 étudiants, dont 46% sont internationaux, Sciences Po offre des formations prodiguées par des chercheurs reconnus et par des enseignants issus de tous les univers professionnels.
Cette combinaison de l’analyse et de l’action caractérise Sciences Po qui, cultivant son lien étroit avec la société, est un acteur et un espace majeurs du débat public.
Attaché à développer l’esprit critique, la curiosité et la rigueur de ses étudiants, Sciences Po a l’ambition de former des professionnels capables de saisir la complexité des sociétés et des politiques pour les rendre meilleures.
Founded in 1872, Sciences Po is ranked among the top universities in the social sciences, both nationally and internationally.
Sciences Po’s 13,000 students, 46 percent of whom come from outside France, benefit from a faculty of leading academics and practitioners from a vast array of fields.
This combination of analysis and action is central to Sciences Po, a university that cultivates a close relationship with society and plays a major role in public debate.
Committed to developing students’ critical thinking, curiosity and rigour, Sciences Po aims to educate professionals with a keen understanding of complex social and policy issues and the will to address them.
The October launch of the “EU-US Dialogue on China” shows that the two shores of the Atlantic have come to recognise the importance of coordination and cooperation when facing up to Xi Jinping.
The anti-fa movement gained momentum in the United States following the election of Donald Trump. However, its members do not constitute a threat in the sense of the American president.
Le long mouvement de massification scolaire enclenché dans notre pays depuis les années 1960 était censé accroître l’attachement aux valeurs démocratiques. Mais il a produit de nouveaux clivages.
Alors que l'Europe tente d'apporter une réponse commune à la crise sanitaire, nous dédions cet épisode à la notion d'européanisation, qui permet d'analyser le fait européen et ses dynamiques.
Joe Biden a-t-il les moyens de résoudre la crise sanitaire, comme il le prétend ? Quelle est sa marge de manœuvre présidentielle en matière de santé publique ?
Les mouvements de droite populiste ne paraissent pas, pour l’heure, tirer profit de la pandémie de coronavirus. L’hypothèse d’un cycle de « déclin » populiste paraît cependant peu probable.
La victoire de Biden ouvre pour les Européens une fenêtre d’opportunité : ils pourraient lancer une Conférence eurasiatique sur la sécurité commerciale, qui rassemblerait l’UE, Washington et Pékin.
Résultats d’une enquête comparative mesurant l'impact de la crise sanitaire et économique sur les droites national-populistes en Allemagne, France, Italie et Suisse ainsi qu’aux États-Unis.
Afin de répondre au mieux aux Objectifs de développement durable, il manque encore aux efforts entrepris par ces institutions financières une cohérence globale.
Donald Trump a systématiquement appuyé Benyamin Netanyahou sur tous les grands dossiers (colonisation, Golan, Jérusalem…). Joe Biden sera moins empressé, mais il n’y aura pas de rupture pour autant.
La mouvance antifa a pris de l’ampleur aux États-Unis suite à l’élection de Donald Trump. Ses membres ne constituent toutefois pas une menace au sens où l’entend le président américain.
Les thèses de l’intersectionnalité font polémiques dans le débat public : il est cependant nécessaire de les comprendre et de les interroger à l’aune d’une société toujours plus inégalitaire.
The US president has relentlessly attacked the ACA since taking office. While more costly than hoped, the law has cut the number of Americans without insurance in half, more than meeting its goals.
Résultats des travaux d’une équipe de chercheurs qui a monté un baromètre permettant de suivre l’expérience du confinement et du déconfinement entre avril et juin 2020.
Selon les républicains, la grande réforme du système de santé votée sous Barack Obama est dysfonctionnelle et trop coûteuse. Or malgré son coût élevé, cette loi a déjà atteint ses objectifs.
Dans une enquête IPSOS-CEVIPOF menée du 9 au 12 octobre 2020, juste avant l'annonce du président Macron, 41% des répondants étaient défavorables à un couvre-feu et 35% favorables.
Une politique étrangère forte et cohérente ne peut confondre réalisme et cynisme. Le réalisme invite au contraire à mettre au premier rang la défense des valeurs dont la France se veut porteuse.
Comment les jeunes Américains perçoivent-ils la question de la « blancheur » et comment celle-ci détermine-t-elle leur sentiment d’appartenance ? Bonnes feuilles.