Le déchaînement de violence à l’œuvre au Proche-Orient, las actes posés en tout premier lieu comme la réponse qui y est apportée, conduit inévitablement à des crimes de guerre.
Deux membres du Conseil de sécurité des Nations unies – la Chine et la Russie – sont soupçonnés d’avoir perpétré de graves atrocités. Voici comment la communauté internationale doit agir.
Les deux années de règne des talibans en Afghanistan nous ont appris que les initiatives classiques en matière de droits de la personne ne suffisent pas à lutter contre l’apartheid de genre.
Anne Levesque, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa and Saïka Coriolan, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa
Les barrières et les oppressions auxquelles se heurtent les francophones les plus marginalisés en Ontario semblent être un angle mort dans les travaux récents de la Commission des droits de la personne.
Des millions d’êtres humains ont cruellement faim et leurs droits fondamentaux sont bafoués. L’aide alimentaire est nettement insuffisante. Tous les ingrédients sont réunis pour une crise majeure.
Si les liens avec les régimes démocratiques de la région indopacifique doivent avoir un sens, le Canada doit se tourner vers les démocraties, et pas seulement vers les partenaires plus riches.
L’Égypte accueille la COP27 alors qu’elle bafoue toujours les droits fondamentaux de ses citoyens. Or, la lutte contre le changement climatique doit inclure la protection des droits de la personne.
À l’heure actuelle, le lien entre l’éducation de la petite enfance et la durabilité nécessite beaucoup plus de financement, de bourses académiques et d’actions.
La déforestation de l’Amazonie au Brésil est à son comble. Jusqu’à maintenant, l’année 2022 fracasse tous les records. La déforestation menace dangereusement les droits humains.
Une élection démocratique n’est pas synonyme d’une organisation démocratique de la société et de sa gouvernance. À cet égard, la tentative de faire de l’Afghanistan une démocratie est un échec total.
Imposer aux étudiants étrangers de se faire vacciner pour pouvoir retourner dans leur pays : une question de droit fondamental ou une mesure inévitable de contrôle de la pandémie ?
La présence du coronavirus dans la région des Grands Lacs africains ravive des tensions existantes et nuit aux échanges commerciaux, à la démocratie et aux droits de la personne.
En temps de Covid-19, il y a une augmentation des obstacles physiques et psychologiques pour l’accessibilité des bénéficiaires de chiens d’assistance. Des solutions existent.
Dans les mois à venir, la Chine aura le pouvoir de nommer ou non des enquêteurs mondiaux de l'ONU sur la liberté d'expression, les disparitions forcées, la détention arbitraire et la santé.
Adjunct Professor, Department of Applied Psychology and Human Development at Ontario Institute for the Study of Education (OISE) and Senior Policy Fellow at the Atkinson Centre, University of Toronto