Il quarto stato, huile sur toile de 293 × 545 cm. L'œuvre est centrée sur les luttes sociales dans le monde du travail, mouvements parfois perçus comme « populistes ».
Giuseppe Pellizza/Wikimedia
De quoi parle-t-on exactement quand on parle du populisme ? Ce concept n’en dit-il pas davantage sur ceux qui l’emploient que sur ceux qu’ils désignent ?
Jean-Luc Mélenchon (ici, le 23 juin 2019, à Paris) a subi un échec cuisant lors des Européennes du 26 mai dernier.
Geoffroy Van Der Hasselt / AFP
Malgré tous ses efforts, la France insoumise ne parvient pas à capter les voix d'une frange de l'électorat populaire qui demeure ancré à droite politiquement et culturellement.
Jean-Luc Mélenchon, à Paris, le 23 juin 2019. Les élections européennes ont été une vraie déception pour lui.
Geoffroy Van der Hasselt / AFP
La question sociale n’est pas évacuée comme le sous-entend le discours du « ni gauche ni droite ». Or c’est bien elle qui a toujours structuré le clivage gauche-droite.
Quel Européen êtes-vous ?
laboussole-europeenne.fr
Lors du scrutin de 2019, l’enjeu européen est devenu un facteur clivant et structurant de la vie politique française. Faites le test de « La Boussole européenne » pour savoir où vous vous situez !
Leur violence collective, contenue et auto-limitée, se présente comme ciblée et différenciée, mais aussi comme une réponse aux violences sociales, économiques et autres destructions environnementales.
Profanation d'un cimetière en Alsace, en décembre 2018.
Sébastien Bozon/ AFP
Michel Wieviorka, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH) – USPC
La recrudescence des agressions antisémites doit être lue dans le contexte de violence qui affecte notre pays, alors que fleurissent les fake news et que le « complotisme » fonctionne à plein régime.
Black bloc, ultra-gauche et ultra-droite: ils émaillent les manifestations récentes et font usage des mêmes modes opératoires.
Roscoe Myrick/Flickr
La violence militante n’est pas une nouveauté : mais de quoi parle t-on exactement quand on mentionne l’ultra-droite ou l’ultra-gauche ? Qui se cache derrière et quelles sont leurs méthodes ?
Les gilets jaunes se rassemblent à l'ombre de l'Arc-de-triomphe à Paris, le samedi 24 novembre 2018.
François Guuillot/ AFP
Michel Wieviorka, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH) – USPC
Le mouvement des « gilets jaunes » correspond à un nouveau répertoire : s’il est défensif, et classique dans ses significations, il est particulièrement moderne dans ses formes.
Le 31 octobre, plusieurs centaines de personnes se sont regroupées à Londres devant le Parlement, brandissant un sablier enfermé dans un rond. Le rond symbolise notre planète et le sablier, le compte à rebours de l’extinction.
Kay Michael/Flickr
Le réveil de l’extrême droite en Saxe et Saxe-Anhalt confronte l’Allemagne à un phénomène minimisé depuis des années, celui de la radicalisation de l’extrême droite néonazie.
Qu'est ce que la «radicalité»? D'où vient le terme et comment le comprendre?
Petteri Sulonen/Flickr
Michel Wieviorka, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH) – USPC
La marche du 28 mars aurait pu être un superbe rassemblement, elle a été gâchée par ceux qui voudraient affirmer la consubstantialité nécessaire des juifs de France avec la politique israélienne.
A Nantes, en novembre 2017, contre les réformes économiques du gouvernement Macron.
Loïc Venance/AFP
Michel Wieviorka, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH) – USPC
Mai 68 ne fut pas un mouvement politique mais un de ces mouvements culturels qui montrent que l’imaginaire, l’art, les représentations sont aussi importants que les actes proprement politiques.
Que nous savons de l’efficacité des mal nommés « loups solitaires », leurs motivations et comportements ? Compte-rendu, en bande dessinée, d’un travail de recherche sur ce sujet de sécurité majeur.
Manifestation du 1er mai à Paris (ici en 2002).
Patrick Prémartin/Wikimedia
Michel Wieviorka, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH) – USPC
Comment se fait-il qu’à l’échelle de la planète, sous des régimes politiques différents, tout particulièrement dans des démocraties, la hausse spectaculaire des inégalités revête une telle ampleur ?
Second anniversaire du mouvement « Occupy Wall Street », le 17 septembre 2013.
Emmanuel Dunand/AFP
Le mot « populisme » semble être synonyme de risque politique. Or, il représente aussi un droit de conflit en démocratie, au lieu de renvoyer le peuple à la seule position d’électeur-consommateur.
Panorama de l'hémicyle de l'Assemblée nationale.
Richard Ying et Tangui Morlier/Wikimedia
Il protégerait les devoirs des citoyens envers la République et cette dernière des incitations à la haine et à la discrimination en fonction du sexe, de la sexualité, de la religion ou de l’ethnicité.
Jean-Luc Mélenchon, le 23 septembre 2017, Place de la République, à Paris.
Geoffroy Van Der Hasselt / AFP
Le décalage entre l’offre et la demande politique, notamment des catégories populaires, n’a pas disparu et ne semble guère propice à une homogénéisation des populismes.
Pierre Laurent et Jean-Luc Mélenchon, à la fête de l'Huma de 2011,au temps de l'union.
Place au peuple / Wikimedia
L’unité politique de la gauche radicale via une coalition n’a été qu’une poursuite, par d’autres moyens et sur d’autres terrains, de leurs oppositions et divergences politiques et stratégiques.