Selon une étude de l’EDHEC NewGen Talent Center, les étudiants estiment que l’intelligence artificielle peut être source de progrès mais mentionnent la nécessité d’un encadrement des pratiques.
Recruter la nouvelle génération de diplômés constitue la meilleure décision pour les entreprises. Mais la crise ne les exonèrera pas de la question du sens et de l’impact sociétal des emplois.
Dans les moments de crise, les jeunes générations peuvent être conduites à mettre en cause les générations aînées. L’épidémie de Covid-19 peut-elle déboucher sur une telle rupture ?
Plus les informations d’un CV sont nombreuses, plus son traitement est complexe, et plus le recruteur doit recourir à des idées préconçues pour combler son déficit d’information.
Une étude révèle que les futurs diplômés ont une vision globalement positive de l’entreprise mais sans naïveté. Ils attendent qu’elles développent leur responsabilité sociale et environnementale.
Les entreprises oscillent systématiquement entre besoin d’être rassurées sur une certaine conformité et nécessité de trouver des personnalités originales qui dynamiseront son activité.
L’étude des caractéristiques prêtées aux générations Y ou Z laisse penser que les différences avec leurs aînés, largement exagérées, servent avant tout des intérêts bien précis…
Si l’on oppose souvent une « jeunesse » idéaliste aux « adultes » inconséquents sur la question climatique, il faut rappeler que LA jeunesse, en tant que groupe social homogène, est une illusion.
Yazid Chir, choqué par la résignation et la honte des diplômés des quartiers difficiles devant qui les portes se ferment, lance avec succès un parrainage des diplômés par des cadres.
Une étude relève la grande hétérogénéité des approches en termes de préparation des étudiants à leur future carrière en fonction du cursus qu’ils choisissent.
Face à la guerre des talents, les cabinets de conseil doivent innover dans leurs pratiques de recrutement. Notamment en se rapprochant davantage des universités et des grandes écoles.