Les enquêtes « terrain » permettent de détecter les angles morts des analyses strictement statistiques sur lesquelles se fondent généralement les politiques publiques. Exemple en Nouvelle-Aquitaine.
Les journées de la science ouverte, en ce moment à Paris, mobilisent acteurs publics et scientifiques. Il faut faire plus. L’université, lieu de savoir, doit largement s’ouvrir à la science citoyenne.
La dernière vague d’indicateurs de l’ONG Positive Planet indique des voies de progrès pour les États et les entreprises vers une économie plus positive.
Alors que les ressources des États se contractent, l’évaluation de l’efficacité des politiques publiques est essentielle, mais difficile. La solution se trouve peut-être du côté de la société civile.
Les observatoires du bonheur se multiplient. Ce souci du bien‑être semble faire contrepoids à l’obsession pour la croissance. Avec le risque que les « experts du bonheur » imposent leurs lois ?
Dans les smart cities, la technologie sert la performance économique, environnementale et sociétale. Quels sont les acteurs qui oeuvrent à l’émergence de ces villes du futur ? L’exemple de Saclay.
La bataille du rail en France, c’est avant tout celle des chiffres qu’il s’agisse du coût du transport ferroviaire pour la collectivité, de la performance ou encore des prix des billets de train.
François Métivier, Institut de physique du globe de Paris (IPGP) and Olivier Berné, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Depuis 10 ans, les réformes de l’enseignement supérieur se succèdent. Mais la différence de traitement entre étudiants des universités et des grandes écoles est stable. Au profit de ces derniers.
Une nouvelle culture de l’impact a saisi depuis quelques années le secteur de la générosité. Les bienfaits sont profonds. Les risques, hélas, peuvent l’être tout autant.
Pierre Bréchon, Auteurs historiques The Conversation France
L’analyse des résultats d’une large enquête sur les attentes de l’opinion en matière de politique économique met en lumière les aspirations contradictoires des Français.
Depuis la fin des années 1990, la mode des start‑up est une passion française. Analyse historique de cette passion et de l’évaluation des politiques publiques qui l’encourage.
Peut-on et comment modifier une politique publique en France ? Illustration des enjeux et difficultés avec deux exemples récents sous le feu de l’actualité ; l’APL et les emplois aidés.
Fabrice Hamelin, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
Les transformations liées à la mobilisation des nouvelles technologies font peser le risque d’une circulation routière qui cesserait d’être un objet de politiques publiques, au profit du seul marché.
Une étude montre que le taux d’entrepreneuriat n’est pas affecté de manière significative par le montant des dépenses publiques allouées aux programmes d’appui à la création d’entreprise.
Madina Rival, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)
Faut-il « manager » l’état comme une entreprise ? Réflexion sur les limites et les possibilités des modèles de la start-up et du « design thinking » adaptés aux missions de services publics.
Associate professor en économie - Grenoble Ecole de Management, F-38000 Grenoble, France - coordinatrice recherche Chaire Unesco pour une culture de paix économique - co-titulaire Chaire Territoires en Transition, Grenoble École de Management (GEM)
Professeur d'économie et de management, Directeur de la Recherche de l’IRIMA, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-Etre au travail et Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)