Le choix du géant américain pour diffuser le championnat ne résout pas le problème du coût d'accès au football français pour le consommateur et reste discutable fiscalement.
François Nicolle, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)
Il semble qu’au fur et à mesure de l’évolution de la crise sanitaire, l’appréciation de la notion d’intérêt général par les décideurs publics ait largement évolué.
La prise en compte des enjeux sociaux et environnementaux dans la mission de l’entreprise est loin d’être une révolution. La nouveauté, c’est plutôt le pouvoir renforcé des actionnaires.
Michel Capron, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
Le texte, voté à l’Assemblée nationale début octobre, n’éclaire pas sur ce que devraient être les finalités d’une société en tant que personne morale. C’était pourtant le point le plus attendu.
Michel Capron, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
Le rapport Notat-Sénart sur la réforme de l’entreprise présente des problématiques importantes pour la société civile. Mais il contient des contradictions, et les innovations y sont rares.
Vincent Renard, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC) and Olivier Saint Lary, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Rendre 11 vaccins obligatoires chez l'enfant n'est pas un moyen efficace d'augmenter la couverture vaccinale en France. D'autres mesures permettraient de l'obtenir en restaurant la confiance.
Jean Tirole, Toulouse School of Economics – École d'Économie de Toulouse
Extrait de l’ouvrage du Prix Nobel Jean Tirole « Économie du bien commun ». Où il est question du voile d’ignorance, de l’intérêt général, du bien-être… et du rôle de l’économie.
Chercheur associé au Laboratoire d’économie dyonisien et à l’Institut de Recherche en Gestion, Université Paris-Est, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)