L’alerte, lancée sur les réseaux sociaux, a révélé l’incurie de l’État et de l’entreprise, et suscité une attention médiatique nouvelle pour les menaces écologiques qui pèsent sur le Grand Nord.
La rivière Ambarnaïa, près de Norilsk, le 6 juin 2020.
Irina Yarinskaia/AFP
La catastrophe écologique survenue dans l’Arctique russe s’explique par les négligences humaines plus encore que par le changement climatique. D’autres tragédies similaires sont à craindre.
Les survivalistes aussi connus sous le nom de « preppers » se préparent à des catastrophes majeures voire même à l'effondrement de notre civilisation industrielle.
Kyle Glenn / Unsplash
Réseaux sociaux et influenceurs, « storytelling », salons dédiés… l’essor du mouvement repose sur certaines pratiques loin d’apparaître comme hors système.
Troupeau de chevaux de Przewalski dans la zone d’exclusion de Tchernobyl. Septembre 2016.
Luke Massey (www.lmasseyimages.com)
Dans la zone d’exclusion de Tchernobyl, des chevaux sauvages originaires des steppes d’Asie prospèrent, avec une population en expansion alors que l’accident nucléaire fait tout juste ses 34 ans.
Panneau d'information à Mulhouse, le 6 mars, une semaine avant que la France décide d'un confinement général.
SEBASTIEN BOZON / AFP
Que faire de l’eau contaminée qui s’accumule sur le site de Fukushima ? Entre stockage et rejets en mer, la polémique fait toujours rage au Japon.
Sur cette photo de mars 2019, des sauveteurs travaillent sur les lieux de l’écrasement d’un Boeing 737 Max d’Ethiopian Airlines au sud d’Addis-Abeba, en Éthiopie. La déréglementation a sa part de responsabilité dans les catastrophes dans les transports.
AP Photo/Mulugeta Ayene
Les tragédies de Boeing et de Lac-Mégantic résultent de la déréglementation. La sécurité a été réduite au point où il ne s’agissait plus de savoir si un accident allait survenir, mais quand.
Le 26 septembre 2019, une fumée noire provoquée par l’incendie de l’usine Lubrizol s’élève dans le ciel de Rouen.
Philippe Lopez/AFP
À la suite de l’incendie de l’usine Lubrizol, la couverture qu’en ont fait les médias interroge sur leur responsabilité dans ces situations d’incertitude.
Ouvriers sur le site de Lubrizol à Rouen, en 2013.
LOU BENOIST / AFP
La série défend l’idée selon laquelle la catastrophe nucléaire de Tchernobyl n’aurait pas pu se produire ailleurs. Une thèse qui s’appuie sur des fondements historiques très contestables.
Vue de la centrale nucléaire de Tchernobyl, en Ukraine, prise le 4 mai 2017, et du bâtiment de confinement installé sur le réacteur numéro 4.
Germán Orizaola
Trente-cinq ans après l’accident, Tchernobyl abrite une faune et une flore diversifiées, passant du statut de désert pour la vie à celui de zone d’intérêt pour la conservation de la faune.
De plus en plus d’éléments suggèrent que l’extinction des dinosaures a été le fruit d’une conjonction de transformations profondes sur Terre, comparables à celles que nous connaissons aujourd’hui.
Le « Miharu Takizakura », cerisier pleureur de plus de mille ans.
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Huit ans après la catastrophe qui frappa le Japon, une réflexion sur les multiples significations attribuées à Fukushima.
La coulée de boue du 25 janvier a contaminé la rivière Paraopeba qui alimente plus d’un million d’habitants, et causé des dommages irrémédiables à l’écosystème de la tribu Pataxó.
Mauro Pimentel / AFP
Le désastre écologique et humain qui a touché le Brésil en janvier illustre la nécessité de durcir les normes internationales, sans espérer pouvoir s’en remettre à la RSE.
La population taïwanaise compte en 2018 23.5 millions d'habitants, dont 78% sont urbains.
Andrew Haimerl/Unsplash