L’alerte, lancée sur les réseaux sociaux, a révélé l’incurie de l’État et de l’entreprise, et suscité une attention médiatique nouvelle pour les menaces écologiques qui pèsent sur le Grand Nord.
La catastrophe écologique survenue dans l’Arctique russe s’explique par les négligences humaines plus encore que par le changement climatique. D’autres tragédies similaires sont à craindre.
Réseaux sociaux et influenceurs, « storytelling », salons dédiés… l’essor du mouvement repose sur certaines pratiques loin d’apparaître comme hors système.
Dans la zone d’exclusion de Tchernobyl, des chevaux sauvages originaires des steppes d’Asie prospèrent, avec une population en expansion alors que l’accident nucléaire fait tout juste ses 34 ans.
Les tragédies de Boeing et de Lac-Mégantic résultent de la déréglementation. La sécurité a été réduite au point où il ne s’agissait plus de savoir si un accident allait survenir, mais quand.
À la suite de l’incendie de l’usine Lubrizol, la couverture qu’en ont fait les médias interroge sur leur responsabilité dans ces situations d’incertitude.
La série défend l’idée selon laquelle la catastrophe nucléaire de Tchernobyl n’aurait pas pu se produire ailleurs. Une thèse qui s’appuie sur des fondements historiques très contestables.
Trente-cinq ans après l’accident, Tchernobyl abrite une faune et une flore diversifiées, passant du statut de désert pour la vie à celui de zone d’intérêt pour la conservation de la faune.
De plus en plus d’éléments suggèrent que l’extinction des dinosaures a été le fruit d’une conjonction de transformations profondes sur Terre, comparables à celles que nous connaissons aujourd’hui.
Le désastre écologique et humain qui a touché le Brésil en janvier illustre la nécessité de durcir les normes internationales, sans espérer pouvoir s’en remettre à la RSE.