Une carte des résultats des élections européennes par bloc politique et à l’échelle infra-communale permet de contrer la sidération provoquée par la carte des communes où le RN est arrivé en tête.
La question juive et l’antisémitisme sont au cœur de la campagne électorale des législatives, en même temps que les autres racismes en sont presque évacués.
Le Front populaire, fruit d’une dynamique sociale, politique et culturelle, a vu une gauche unie accéder au pouvoir en 1936. Les réformes sociales du gouvernement Blum ont marqué la France en profondeur.
Le Nouveau Front Populaire ne touchera pas au parc nucléaire français. Souvent désignée par ses opposants comme antinucléaire, la gauche l'est-elle vraiment ? L'histoire et l'actualité permet d'en douter.
Divisée lors des européennes, la gauche peut-elle se rassembler en un front populaire ? En quoi cette union diffèrerait-elle des précédentes ? Quel type de négociations pourrait avoir lieu ?
À travers la manière dont ils se désignent, le RN pourrait être vu comme un parti de propositions alors que le Front populaire serait perçu comme un ensemble d’opposition. Analyse des termes.
A peine conçu, le Nouveau Front populaire fait face à une crise dans laquelle Jean-Luc Mélenchon paraît comme un agent perturbateur dont les décisions relèvent davantage du personnel que du collectif.
Les tensions au sein de LFI et de Renaissance mettent en évidence des failles de procédures démocratiques traditionnelles pour désigner les leaders et faire face aux crises qui les divisent.
Professeur des Universités, directeur du master en relations franco-italiennes, Université Côte d'Azur, Chercheur associé à la Fondation pour la Recherche Stratégique (FRS, Paris), professeur et membre du CISS de l'université LUISS de Rome, Université Côte d’Azur