Les jeunes consommateurs hyperconnectés attendent notamment des marques qu'elles mettent à disposition plus d'informations sur l'empreinte écologique des produits.
On peut classer ces partenariats en six grandes catégories.
Waraporn Wattanakul / Shutterstock
La classification établie par deux chercheurs permet de mieux articuler les partenariats aux business models de l’entreprise.
Les couleurs des posts Instagram du DA de Valentino, Pierpaolo Piccoli, s’éloignent parfois du noir et du gris qui caractérise la marque.
Capture écran Instagram.
Des épisodes courts diffusés sur le web destinés à promouvoir une marque sans que cela ressemble à des spots publicitaires, voici la recette gagnante de la websérie de marque.
Un roitelet à triple bandeau (Regulus ignicapilla).
Wikimédia
Pour optimiser leur stratégie de communication, les marques doivent cibler leurs relais sur les réseaux sociaux en fonction du type de produit sur lequel elles communiquent.
En France, la thématique « Greta Thunberg » suscite un intérêt relativement modéré.
Vanessa Carvalho/Shutterstock
Les Français et les Américains sont plus défiants envers l’action de la militante suédoise que les Allemands. Des perceptions liées, entre autres, aux « bulles de filtre » créées par les médias.
Romain Pigenel, directeur de la stratégie, de la communication et des relations extérieures à l'IMA, sur le plateau de Xerfi canal.
Capture d'écran.
À l’heure où tous les contenus sont accessibles en ligne, se met en place un « darwinisme informationnel » qui va privilégier l’offre culturelle et médiatique la plus adaptée au contexte.
Les influences sont devenus incontournables dans les stratégies de communication des marques de mode.
https://www.youtube.com/watch?v=XYvqOcojtK0
Certaines entreprises envoient des messages perçus comme contradictoires, comme des salaires très élevés pour le dirigeant combinés à des projets philanthropiques.
Montage représentant les leaders des principaux partis espagnols durant la campagne législative de décembre 2015.
AFP
Sabrina Grillo, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
Le choix des couleurs en politique n’est jamais anodin, comme le montre l’étude des dernières décisions prises en la matière par les principales formations espagnoles.
Un manifestant brandit sa caméra, La Rochelle, le 12 janvier 2019.
XAVIER LEOTY / AFP
Benjamin Ferron, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
Une bonne partie des organisations politiques, syndicales ou associatives semblent s’être prises au jeu d’une forme de « militantisme de prime time ». Décryptage.
Chez les consommateurs les plus anxieux, les produits présentés comme pouvant « prévenir », « éviter » ou « protéger » apparaissent plus attractifs.
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L’intensité des rappels de l’idée de mort détermine notamment nos préférences pour certains produits selon la façon dont ils sont présentés.
Les initiatives se multiplient à l'approche du grand jour des promotions commerciales pour sensibiliser à la surconsommation.
Capture d'écran Twitter / @By2020WeRiseUp
Des associations ou des marques prennent le contre-pied des enseignes qui proposent des promotions le 29 novembre pour dénoncer une « journée infernale de surconsommation ».
La RSE peut parfois servir à masquer certaines manœuvres politiques…
Ravipat / Shutterstock
Les actions menées par les entreprises sont parfois en contradiction avec les objectifs affichés. La prise en compte de leurs activités politiques pourrait les aider à joindre le geste à la parole.
Une image du film Premier Contact.
Allociné / Sony Pictures
Les entreprises du net comme Facebook ou Twitter devraient être tenues responsables de la manière dont elles vérifient la fiabilité des informations qu’elles diffusent plus que de leur stricte vérité.
La convergence des luttes, l'une des clés du succès du mouvement Fight for $15.
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Né en 2012, ce mouvement est parvenu à augmenter le salaire minimum dans plusieurs États et entreprises sans recourir aux grèves classiques. Une inspiration pour le syndicalisme français ?
Des cachalots nagent près de la côte de Sao Miguel, aux Azores, dans l'Atlantique nord.
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Les animaux ont-ils leur propre culture ? Une chercheure étudiant la culture des baleines soutient que oui. Mieux les comprendre est peut-être un moyen de les sauver de l’extinction.