Alors que le conflit au nord du Mali s’enlise, un autre foyer d’instabilité inquiète les observateurs dans le centre du pays. L’attitude des autorités maliennes peut encore désamorcer ces tensions.
En ouverture d’un cycle de conférences à la MSH de Lorraine sur le thème « comprendre, expliquer, excuser », analyse du débat après les propos de Manuel Valls et d’autres sur le rôle des chercheurs.
Lors d’une cérémonie religieuse en mémoire du père Jacques Hamel assassiné le 26 juillet dans l’église de Saint-Etienne du Rouvray.
Joel Saget/AFP
Elyamine Settoul, Institut de Recherche Stratégique de l’Ecole Militaire (IRSEM)
La trajectoire sociale du tueur de Nice ressemble plus à celle d’un individu narcissique et mégalomaniaque qu’à celle d’un djihadiste. Mais gare à la prophétie auto-réalisatrice.
Sur la promenade des Anglais le 19 juillet.
Valery Hache/AFP
Plusieurs éléments de réflexion s’imposent à la suite de l’attaque terroriste du 14 juillet à Nice. Une attaque qui marque l’évolution de la radicalisation à de multiples égards.
Place de la Bourse (Bruxelles), le jour d'après.
Aurore Belot/BELGA/AFP
Comme après le 13 novembre, la sidération domine au lendemain des attentats de Bruxelles. Comment aller au-delà et participer au débat public ? Quatre postures différentes sont possibles.
Une semaine après l'attentat, sur la plage de Grand-Bassam.
Sia Kambou/AFP
Après le Mali et le Burkina Faso, c’est au tour de la Côte d’Ivoire d’affronter l’épreuve du terrorisme. Pour y faire face, le pays ne manque pas de ressources.
Manifestation du 11 janvier 2015, à Paris.
Frédéric de La Mure/Flickr
Face aux extrêmes, l’esprit de modération doit s’armer d’un discours cohérent pour ne plus apparaître comme un aveu de faiblesse mais bien comme la réponse la plus efficace.
Un soldat français aux côtés des forces de sécurité maliennes à l'intérieur de l'hôtel Radisson, à Bamako.
Habibou Kouyate / AFP
Depuis trois ans, l'armée française traque les djihadistes dans le Sahel, lesquels étendent leur influence plus au sud. Une réalité qui souligne l'inanité d'une approche purement militaire.
Des policiers à Saint-Denis, le 18 novembre.
Kenzo Tribouillard / AFP
Peut-on renforcer les moyens des services de renseignement sans poser la question de leur utilisation à bon escient ? Le temps du renseignement et de la guerre n’est pas celui des politiques.
Un Rafale sur le porte-avions Charles-de-Gaulle, qui participe aux opérations contre Daech.
Anne-Christine Poujoulat/AFP
Au lieu de chercher son anéantissement, il est nécessaire de penser la lutte contre Daech de manière à le ramener à un niveau politiquement acceptable de menace.
Sortie de mosquée à Strasbourg, le 20 novembre dernier.
Patrick Hertzog/AFP
La majorité des auteurs des attentats du 13 novembre sont de nationalité française. Est-il possible de comprendre comment ces jeunes radicalisés ont pu basculer dans le terrorisme ?
«Il flotte mais ne sombre pas». Devant le Carillon, l'un des lieux visés vendredi soir par les terroristes à Paris.
Dominique Faget/AFP
Dix mois après « Charlie Hebdo », et malgré le renforcement des capacités des forces de sécurité, la capitale française a été à nouveau frappée par le terrorisme. L’État est-il dépassé ?
Dans une rue près du Bataclan la nuit du 13 au 14 novembre 2015.
Dominique Faget/AFP
Malgré le ralentissement des déflations d’effectifs et une hausse du budget de la défense annoncés récemment, les armées françaises engagées sur de multiples fronts sont à court de moyens.
Conseil des ministres délocalisé aux Mureaux, le 26 octobre 2015.
Lionel Bonaventure/AFP
Fin octobre 2005, de violentes émeutes éclataient dans les quartiers populaires. Dix ans plus tard, la question des « banlieues » n’est plus appréhendée sous l’angle social mais identitaire.
En Jordanie, le Premier ministre Valls inspecte l'un des Mirage 2000 qui frappent en Syrie.
Kenzo Tribouillard/AFP
Pour frapper les jihadistes en Syrie, y compris français, Paris invoque le « droit à la légitime défense » prévu par l’ONU. Mais à quelles conditions peut-on exercer un tel droit ?
Destructions dans les vieux quartiers de Sanaa classés par l'Unesco, le 19 septembre 2015.
MOHAMMED HUWAIS / AFP
Le conflit qui fait rage au Yémen détruit, ici comme ailleurs au Moyen-Orient, de larges portions du patrimoine culturel, certains listés par l’Unesco. État des lieux et analyse de quelques solutions.
Responsable du Département International Relations and Diplomacy, Schiller International University - Enseignante en relations internationales, Sciences Po
Chercheur sénior au Bonn International centre for conflict studies (BICC) ; Chercheur associé au laboratoire Les Afriques dans le Monde (LAM), Sciences-Po Bordeaux., Université Bordeaux Montaigne