Haricots et maïs, pois chiches et semoule de blé… de nombreuses recettes traditionnelles associent des légumineuses à des céréales pour un apport optimal en acides aminés essentiels, les briques qui constituent les protéines.
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Les légumineuses présentent un intérêt nutritionnel certain. Mais elles sont jugées peu digestes et les phyto-estrogènes du soja inquiètent. Apprenons à les cuisiner pour en profiter sans risques ni inconforts.
La plupart des gens ne consomment que la moitié de la quantité de fibres alimentaires recommandée, ce qui peut avoir un effet négatif sur leur santé.
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Les fibres ne sont pas seulement associées à la santé du côlon ; elles influencent aussi la santé globale et la santé du cerveau par l’axe intestin-cerveau. Mais toutes les fibres ne se valent pas.
Le mimosa fait partie des plantes qui peuvent se passer d’engrais azoté, tout comme les cacahuètes ou le soja.
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Soja, cacahuète, mimosa : des scientifiques retracent l’évolution de la symbiose fixatrice d’azote chez les légumineuses et certaines espèces d’arbres.
Pour la santé humaine, pour celle des animaux, pour les écosystèmes, cultiver plus de légumineuses présentent de nombreux avantages souvent ignorés.
Pour tirer parti des avantages des nouvelles technologies agricoles, on doit développer des systèmes alimentaires dans lesquels les déchets d’une étape deviennent des intrants dans la suivante.
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Comment peut-on nourrir de manière nutritive une population croissante, faire face au changement climatique et ne pas détruire les écosystèmes dont nous dépendons tous pour vivre ?
Parcelle d’engrais vert et parcelle de riz.
A. Ripoche (2019)
Pour augmenter les rendements des céréales en Afrique, la production d’engrais verts à travers la culture de légumineuses est prometteuse. Mais certains obstacles subsistent.
Face à l'instabilité récurrente des marchés agricoles, encourager la culture des légumineuses réduirait la dépendance de nos systèmes alimentaires à l'égard des importations de protéines végétales, comme le soja par exemple.
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Les nombreux bénéfices associés aux cultures de légumineuses invitent à penser leur déploiement à l’échelle du continent européen et à l’échelle locale.
Les ruminants (bovins, ovins) affectent jusqu’à 5 fois plus l’environnement que les monogastriques (porcs, volailles).
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Pour construire des politiques publiques efficaces, il apparaît urgent d’appréhender ces problématiques dans leur globalité, et non au prisme d’un unique enjeu ou de quelques critères.
Des insectes pourront à l’avenir être produits pour l’alimentation.
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La construction d’une chaîne alimentaire plus écologique, plus locale et adaptée aux changements climatiques implique de relever une série de défis scientifiques.
Gérer ses apports en fer par son alimentation n'est pas si simple.
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Conserver un bon taux de fer corporel n’est pas évident : la teneur en fer des aliments (surtout végétaux) est faible, et il est mal assimilé. Face aux idées reçues, à quoi faut-il être vigilant ?
Le niébé est une légumineuse à haute valeur nutritionnelle qui pourrait servir de rempart à la malnutrition.
Malgré un intérêt mondial pour les régimes alimentaires durables, nous ne sommes pas très nombreux à emboîter le pas - seuls 5 % des Canadiens ont indiqué suivre un régime à base de plantes.
(Maude Perreault)
Adopter une alimentation qui contient des protéines d’origine végétale peut comporter de nombreux bénéfices. Découvrez des astuces pratiques pour les intégrer à votre menu.
Changer son alimentation à 60 ans pourrait augmenter l’espérance de vie de huit ans.
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Les régimes riches en légumineuses, céréales complètes, noix, et comptant moins de viande rouge et d’aliments transformés, sont bénéfiques pour la longévité.
L’azote est un élément minéral indispensable à la croissance de tout être vivant que les plantes prélèvent dans le sol.
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N’ayant pas recours aux engrais azotés, l’agriculture biologique ne dispose que de sources limitées pour s’approvisionner en azote et soutenir la production de ses cultures.
Le maïs est la céréale la plus cultivée dans le monde avant le riz et le blé.
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Dans les régions tropicales, la culture du maïs exige le recours massif aux intrants chimiques. Une autre solution existe, fondée sur la rotation des cultures, pour favoriser la fertilité des sols.
Le « scénario lundi vert » correspond à une diminution de la consommation de viande et de poisson de 15 %.
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Proposer un burger végétal dont l’apparence, le goût et l’odeur ressemblent à s’y méprendre à du bœuf, tel est le défi qu’entend relever la start-up Impossible Foods.
Est-il plus éthique de se nourrir à partir de légumes que de viande ?
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Sommes nous réellement supérieurs biologiquement aux autres espèces vivantes ? Et que signifie, d’un point de vue éthique, manger des plantes plutôt que des animaux ?
Les consommateurs n’ont pas toujours conscience des conséquences de leur consommation.
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Moins de viande, plus de légumineuses et un étiquetage digne de ce nom sur l’impact environnemental des aliments, voici quelques-unes des pistes pour faire rimer alimentation et développement durable.
Rizières dans le Yunnan (Chine).
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Franco Miglietta, Réseau français des instituts d’études avancées (RFIEA)
Les terres consacrées à la production agricole ne peuvent pas croître davantage sans endommager les écosystèmes terrestres : la recherche agricole doit trouver rapidement des solutions durables.
Professeur de psychologie sociale, membre honoraire de l’Institut universitaire de France (IUF), directeur de la MSH Alpes (CNRS/UGA), Université Grenoble Alpes (UGA)
Directeur de Recherche, Institut de Biométéorologie du Conseil National de la Recherche italien, Fellow 2017- IMéRA d'Aix-Marseille, Réseau français des instituts d’études avancées (RFIEA)