Les stations fixes de mesure de la pollution urbaine donnent des valeurs moyennes ou extrapolées, pour les zones où elles ne sont pas installées.
Nathan Dumlao / Unsplash
La pollution de l’air est mesurée par un vaste réseau de surveillance, auquel s’ajoutent désormais des capteurs individuels commerciaux ou citoyens. Quelle est leur fiabilité ?
Le surpeuplement des logements n’aide pas à enrayer la Covid-19.
(Nazish Mirekar/Unsplash)
Le Canada fait de grands progrès en ce qui concerne la politique de logement lors de la pandémie de Covid-19, mais les mesures permanentes tardent à venir.
La ville d'Athènes, capitale millénaire de la Grèce.
Nikos Niotis, Flickr
Vincent Verbavatz, Université Paris-Saclay e Marc Barthelemy, Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA)
Certaines villes prospèrent, d’autres disparaissent. Une étude récente montre que l’évolution urbaine tient davantage à des chocs extérieurs, peut-être maîtrisables, qu’au hasard des évènements.
Des gens déambulent sur une portion piétonne de la rue Sainte-Catherine, à Montréal, le 13 novembre. La pandémie a contribué à une reconnaissance de l’importance de l’espace public.
La Presse Canadienne/Ryan Remiorz
Le confinement a contribué à une reconnaissance de l’importance de l’espace public comme lieu de rassemblement et d’équipement essentiel à la satisfaction des besoins de la population.
Le 17 mars 2020, gare Montparnasse, un afflux de voyageurs partant se confiner hors de Paris.
Yankel Fijalkow, École nationale supérieure d’architecture de Paris Val de Seine (ENSAPVS) – USPC
Nombreux seraient les citadins qui aspirent à quitter les métropoles. Mais répondent-ils alors à l’appel de la nature ? L’histoire et les données du confinement révèlent une situation plus complexe.
Yves Marchand et Romain Meffre, « William Livingstone House », photo tirée de la série « The Ruins of Detroit », 2006.
Avec l'aimable autorisation d'Yves Marchand et Romain Meffre
Les représentations post-apocalyptiques peuvent nourrir une prise de conscience en insistant sur la gravité des transformations que l’homme opère sur son environnement.
Des nomades jouissent de la liberté de vivre dans leur véhicule.
(Alex Guillaume/Unsplash)
Découvrir l’expérience de ces nomades automobiles peut être intéressant non seulement pour ceux qui souhaitent mettre fin aux loyers et hypothèques, mais aussi pour les urbanistes et les employeurs.
Préserver l’environnement et rétablir le lien homme nature sont parmi les valeurs fortes du jardinage urbain collectif. Jardin du square Guillaume Lion à Rouen.
Maria-Asma Benothmen
La crise sanitaire remet en question l’accès régulier à une nourriture saine et de qualité. Dans ce contexte, le jardinage urbain porte la promesse d’une nouvelle urbanité.
Le cimetière du Père-Lachaise, le plus visité de la ville de Paris.
Jeanne Menjoulet / Flickr
Les mécanismes de fixation des prix, qui peuvent être 50 fois plus élevés d’un lieu à l’autre, demeurent extrêmement complexes – et étonnamment proches de ceux des logements des vivants.
Vue de Grenoble depuis le fort de la Bastille.
Sophie Keen/Unsplash
Le bien-être soutenable correspond à la possibilité que les personnes ont de se réaliser, c’est-à-dire de trouver des réponses à leurs besoins en adéquation avec le bien commun et leurs aspirations.
Vue imaginaire de l’intérieur d’un « bâtiment vivant ».
Assia Stefanova/Hub for Biotechnology in the Built Environment
Céline Burger, Université de Reims Champagne-Ardenne (URCA)
Les mobilités urbaines sont au cœur des préoccupations. L’urbanisme tactique semble être une opportunité de gérer la crise de la Covid-19 et l’établissement de la distanciation physique.
Une enquête conduite auprès de près de 11 000 personnes en France montre à quel point le confinement a favorisé la prise de conscience de la nécessité de mieux se connecter à la nature.
Le Laboratoire d’usages culture(s) art société (LUCAS) interroge la fabrique culturelle territoriale, et en particulier les modes de coopération entre les acteurs en présence.
En ville, les espaces naturels sont autant de possibilités d’expériences et de qualité d’être.
Marie-Elise Beyne
La transition écologique que nous vivons, tout comme le contexte actuel de pandémie, réinterroge notre rapport à l’espace à plusieurs titres, du rejet de la ville à l’envie de local.
Des ouvriers traversent un haut échafaudage sur un chantier de construction. La crise actuelle fait ressortir l’importance des aspects sociaux et environnementaux liés à tout grand projet d’infrastructures.
La Presse Canadienne/Paul Chiasson
Les infrastructures ne peuvent plus être pensées uniquement en fonction de leurs bénéfices financiers. Les aspects sociaux et environnementaux doivent aussi faire partie de l’équation.
Et si le jeu nous permettait de mieux comprendre les enjeux de la ville ? (Image par philm1310 de Pixabay )
Un encouragement ludique pour jeter un papier : ça fait sourire. Découvrir une ville en s’amusant : ça fait plaisir. Et si le jeu pouvait nous accompagner encore plus loin pour réinventer la ville ?