Préservation des sols, diversification des ressources, atténuation du changement climatique… La liste des avantages de l’agroforesterie est longue. Zoom sur une pratique qui amorce un retour en grâce.
Dans la « galerie de la biodiversité » de l’American Museum of Natural History à New York.
Dano/Flickr
Benjamin Roche, Institut de recherche pour le développement (IRD)
L'extinction de nombreuses espèces animales a de profonds impacts sur la propagation des infections. Ces effets réclament une gestion des ressources naturelles en conséquence.
Vente d’insectes cuisinés sur un marché de Bangkok en Thaïlande.
J.Gallé/TheConversation
Les insectes nous inspirent. Depuis peu, en Occident, on parle de les manger. Moins connus, ils sont à l’origine de grandes découvertes. Grâce à eux, le biologiste Jules Hoffmann a décroché un Nobel.
A travers des missions sur le terrain, on peut faire toucher du doigt à un large public l'intérêt des insectes dans la compréhension des liens subtils qui unissent les créatures vivantes.
Toxiques, parfois mortels, les venins animaux sont un danger en santé publique. Mais ils sont aussi une source de molécules intéressantes pour de futurs traitements contre la douleur.
Les gorges de la Cesse (Hérault), un site récemment classé. Le dispositif du classement a été reconduit par la loi sur la biodiversité.
Hugo Soria/Wikimedia
Contrairement à ce qu’en disent ses détracteurs, la loi sur la biodiversité adoptée par le Sénat ce 26 janvier 2016, ne remet pas les clés de la nature aux entreprises.
L’une des vénérables habitantes des pentes du mont Wolf sur l'île Isabela.
Luciano Beheregaray
Lorsque Lonesome George, une tortue géante des Galapagos, mourut à 100 ans, beaucoup pensèrent que son espèce venait de disparaître à jamais avec lui… mais il n’en était rien.
De la ville d’hier qui tenait la nature à distance à celle d’aujourd’hui qui s’efforce de l’intégrer, une brève histoire des conceptions du lien entre le naturel et l’urbain.
Les migrations, animales et humaines, sont parties intégrantes de l'histoire de la vie.
Counselling/Pixabay
Les migrations ne sont pas le propre de l’homme. Sur notre planète, les espèces circulent, notamment en raison des aléas du climat. Préparons-nous à accueillir les migrants du futur, bêtes et hommes.
Le goujon asiatique, une espèce invasive introduite en Europe dans les années 1960.
Rodolphe Gozlan, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Introduit dans les années 1960 en Europe, le goujon asiatique est le porteur sain d’une terrible mycose qui décime les autres poissons, faisant craindre le pire pour les bars de Méditerranée.
La valse des espèces, avec ses périodes d'extinctions, est partie intégrante de l'histoire de la vie.
woodleywonderworks/flickr
La possibilité d’une nouvelle extinction des espèces sur Terre, compris la notre, est prise au sérieux par les scientifiques. L’examen des crises passées montre que la vie y survit.
Directeur de recherche CNRS, systématicien, directeur de l’Institut de systématique, évolution, biodiversité (ISYEB), Centre national de la recherche scientifique (CNRS)