La santé psychique des jeunes s’est dégradée au cours de la pandémie, en témoigne l’augmentation des admissions aux urgences pédopsychiatriques. Comment les parents peuvent-ils aider leurs ados ?
L'auteur, Arash Javanbakht, dans sa salle de sport. Il n'aimait pas faire de l'exercice jusqu'à ce qu'il trouve une activité qui lui plaise.
Arash Javanbakht
Amélioration des capacités musculosquelettiques, cardiovasculaires, métaboliques… L’activité physique ressemble vraiment à un médicament miracle. Et notre cerveau en bénéficie lui aussi.
Les études réalisées après des catastrophes identifient certains facteurs de risque liés aux pensées suicidaires des jeunes.
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Eve Pouliot, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) and Danielle Maltais, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC)
Les jeunes sont beaucoup moins à risque de mourir de la Covid-19, mais ils peuvent craindre pour leur santé ou celle de leurs proches, ce qui peut exacerber un état d’anxiété préexistant.
Thomas Fovet, Centre hospitalier régional universitaire de Lille and Pierre Thomas, Centre hospitalier régional universitaire de Lille
En moyenne, les troubles psychiatriques sont trois fois plus fréquents chez les personnes admises en prison qu’en population générale. D'où la nécessité de soins de qualité, et d'un suivi à la sortie.
N’attendez pas que les adolescents viennent vers vous. Engagez la conversation avec eux.
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Avec la deuxième vague de l'épidémie de Covid-19, il est urgent de mesurer précisément les souffrances psychologiques. Mais les différents indicateurs utilisés ne disent pas toujours la même chose.
Les soignants sont particulièrement exposés aux risques de troubles de la santé mentale.
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L’épidémie a augmenté les sources de stress et les risques de problèmes de la santé mentale des soignants. Une étude pilote pourrait permettre de mieux prendre en compte leurs besoins.
Les étudiants universitaires ont des taux de détresse avoisinant les 60%. Il est urgent de leur venir en aide.
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L’autogestion ne veut pas dire s’en sortir seul, mais bien de devenir l’expert de ce qui nous fait du bien.
La suractivité du cortex cingulaire antérieur subgénual du cerveau est susceptible d'être une cause de dépression et d'anxiété.
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Les origines de certaines formes de dépression et de troubles anxieux se situent dans notre cortex préfrontal. Cibler la suractivité de cette région pourrait permettre de mieux les traiter.
Plus que jamais, le potentiel de l'art pour apporter un bien-être psychologique en situation de crise fait l’objet d'études.
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Devant le manque de services psychologiques, des citoyens tentent de prendre soin d’eux par la pratique des arts. L’expression artistique devient une réponse à la détresse psychologique.
Les taux d’anxiété atteindraient près de 20% au Canada, ce qui est huit fois supérieur à ce que l’on observait avant la pandémie.
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Une connaissance du trouble longtemps focalisée sur les enfants et un a priori négatif sur les médicaments expliquent en partie le sous-diagnostic du TDAH de l’adulte. Il est grand temps d’y remédier.
Les traitements médicaux impliquant la neurostimulation, ou stimulation électromagnétique cérébrale, refont surface et semble plus efficaces que les médicaments pour traiter la dépression.
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Comme le nourrisson qui en situation de carence affective peut tomber dans un grave état dépressif, la personne âgée malade et ne recevant plus de visites risque de souffrir d’un dangereux syndrome.
La « génération Z » soit les jeunes nés après 1995, est aujourd'hui la plus touchée par la dépendance au smartphone.
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Compte tenu de la prévalence élevée de la dépression, on peut imaginer que des caractéristiques la facilitant aient été retenues par la sélection naturelle, eu égard aux avantages qu’ils procuraient.
Les deux tiers des femmes disent que la ménopause a un impact modéré à grave sur leur vie professionnelle. Certaines ont même dû quitter leur emploi.
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Alors qu’une mission parlementaire d’information sur le cannabis vient d’être mise en place, il est important de sortir d’une vision simpliste opposant l’usage récréatif au médical.