Au cinéma, certains concepts scientifiques sont souvent ignorés. Ainsi, dans l’espace, les protagonistes communiquent instantanément, et on peut y entendre du son. Dans la réalité, c’est impossible !
En France, de solides barrières invisibles persistent et se dressent dans le parcours professionnel des femmes.
Fred Dufour/AFP
Depuis 2016, des scientifiques embarqués à bord de la goélette Tara sillonnent le Pacifique pour surveiller l’état des récifs coralliens gravement menacés par le réchauffement climatique.
EcranPrison.
saisie d'écran de la vidéo du CSA "Le piège des images"
Idée reçue : Les écrans sont une prison. Depuis Platon, les écrans nous font peur. Mauro Carbone, professeur d’esthétique, explique que les écrans ne sont que des interfaces de la réalité.
Couper l'eau quand on se brosse les dents est écolo
Idée reçue : Couper l’eau quand on se brosse les dents est écolo. Bernard Chocat, professeur à l’Insa de Lyon pointe d’autres comportements beaucoup plus dommageables pour l’eau.
Au musée Tate Modern, à Londres. Un QI élevé est une condition nécessaire, mais pas suffisante, pour être identifié comme haut potentiel.
Samuel Zeller/Unsplash
Les surdoués sont aussi appelés des précoces ou des hauts potentiels. Ces mots renvoient à des manières différentes de considérer leurs capacités exceptionnelles, et de les valoriser.
Gélules d'huile de foie de morue, source d'omega 3.
Shutterstock
Les composants de la famille des lipides, dont font partie les omega 3, peuvent ralentir l’évolution du cancer et améliorer l’efficacité des traitements.
La généralisation des robots pose des questions éthiques de plus en plus graves. Il est urgent de réfléchir à ce que nous sommes prêts à leur déléguer.
Etudiants de Bachelor Infographie D en salle informatique by Bellecour.
Céline Fouard, Université Grenoble Alpes (UGA) and Catherine Zoppis, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
L'informatique c'est fait pour les hommes
Idée reçue : L’informatique c’est fait pour les hommes. Céline Fouard et Catherine Zoppis, ingénieures en informatique, luttent contre ce préjugé grâce à l’histoire.
Donner à la nature une vraie place en ville passe notamment par des initiatives de continuités écologiques qui permettent aux espèces de se déplacer dans les espaces urbains.
Maria Isabel Barreno, Maria Tereza Horta et Maria Velho da Costa.
Editions Dom Quixote/Jorge Horta
Idée reçue : Les étudiants n’aiment pas l’anatomie. Patrice Thiriet, de l’université Lyon-1, fait mentir cette sentence. Il enseigne cette science par la 3D.
px Light dispersion of a mercury vapor lamp with a flint glass prism IPNr.
D-Kuru/Wikimedia
Idée reçue : la lumière se propage en ligne droite. Pas toujours, explique Johan Richard, astrophysicien. Dans l’univers, on observe des mirages gravitationnels.
Les étudiantes polynésiennes ont largement rattrapé l'écart avec les hommes dans les études supérieures. Ici à l'UPF en 2017.
Communication UPF/Flickr
La mise en place de centres universitaires locaux a considérablement amélioré les perspectives de formation des Calédoniens et des Polynésiens, et, plus particulièrement, celles des femmes.
Une fontaine d'eau potable à Saint-Paul-de-Vence (Alpes-Maritimes).
Kaptain Karrot/Flickr
Peut-on laisser le robinet couler ? Les citoyens méconnaissent souvent les enjeux liés à l’eau. Voici trois idées reçues qui ont été déconstruites afin de mieux comprendre cette ressource vitale.
Idée reçue : « L'inerte et le vivant sont deux mondes distincts ». Pourtant ils sont étroitement imbriqués depuis les origines de la vie sur Terre, selon le biologiste Jean-Marie Exbrayat.
Jan Miel, «Enée et Didon à la chasse», vers 1650, 161 x 220, huile sur toile.
Musée des Beaux-Arts, Cambrai.
Les voyages sont légion dans les œuvres mythologiques des musées de la région des Hauts-de-France. Que sont Enée, Ulysse ou Hercule sinon des voyageurs, des migrants ?
Aerial view of the Amazon Rainforest Par lubasi Catedral Verde Floresta Amazonica CC BY SA httpscommons wikimedia orgwindex phpcurid.
Sans l'activité humaine, la biodiversité ne changerait pas
Idée reçue : « Sans l’activité humaine, la biodiversité ne changerait pas ». Gilles Escarguel, paléontologue et macroécologue, explique le naturel des variations de la biodiversité.