Les professionnels préparent les caméras - fait rare- dans le tribunal où se tiendra le procès des mis en cause dans les attentats de janvier 2015.
STEPHANE DE SAKUTIN / AFP
À bien des égards ce procès est unique, non seulement par son fort impact médiatique, sa durée, mais aussi en raison des débats sociétaux qu’il relance, comme celui sur les limites de l’état de droit.
Membre d'une brigade d'intervention en poste devant les anciens locaux du magazine Charlie Hebdo dans le 11e arrondissement à Paris où le 25 septembre un homme a attaqué deux personnes à l'arme blanche.
Alain JOCARD / AFP
Le Conseil constitutionnel a censuré une loi votée le 17 juillet portant sur la surveillance judiciaire, invoquant un manque d’équilibre entre les droits et libertés des individus et la sécurité.
Une jeune femme fait face au silo de grain détruit sur le port de Beyrouth, le 11 août 2020.
AFP
Elyamine Settoul, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)
En affaiblissant les nations occidentales et les régimes des pays musulmans, la pandémie de Covid-19 offre aux mouvements djihadistes de nombreuses occasions de déployer leur propagande.
Pendant une manifestation contre le confinement à Columbus, Ohio, le 18 avril 2020.
Megan Jelinger/AFP
Elyamine Settoul, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)
Par le bouleversement qu’elle représente et l’inquiétude qu’elle génère, l’épidémie actuelle est de nature à favoriser le passage à l’action violente.
Des membres d'une branche du Hezbollah pulvérisent du désinfectant dans un quartier de Beyrouth pour lutter contre la propagation du coronavirus.
AP Photo/Bilal Hussein
Là où les gouvernements sont faibles ou inexistants, ce sont les gangs, les insurgés et même les groupes désignés comme terroristes qui se retrouvent au premier plan dans la lutte contre la pandémie.
John Martin, La septième plaie d'Égypte, 1823. Pour les djihadistes, l'épidémie de Covid-19 relève d'un châtiment divin.
Wikipedia
Les mouvances djihadistes interprètent la crise sanitaire actuelle comme un signe évident de la colère de Dieu contre les « nations croisées ». Leur détermination s’en trouve encore renforcée.
Les acteurs Lior Raz et Tsahi Halevi interprètent les protagonistes de la série.
Allociné / Tender production
La série « Fauda » se veut le reflet fidèle du conflit israélo-palestinien, mais sert une vision politisée du conflit.
Le représentant spécial des États-Unis en Afghanistan, Zalmay Khalilzad, et le cofondateur des talibans, le mollah Abdul Ghani Baradar, signent l'accord de paix lors d'une cérémonie dans la capitale qatarie, Doha, le 29 février 2020.
Giuseppe Cacace/AFP
Jean-Luc Racine, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH)
Le 29 février, un accord supposément historique a été signé entre les États-Unis et les talibans. Pour autant, la paix en Afghanistan est encore loin d’être assurée…
Des soldats française Barkhane patrouillent dans le centre du Mali, qui entre dans sa huitième année de conflit.
Daphné Benoit / AFP
Une étude révèle l’affaiblissement du tissu social dans les zones exposées à la violence, ce qui contribue à l’enracinement du conflit et à l’affaiblissement économique du pays, en guerre depuis 2012.
Alain Bauer sur le plateau de Xerfi canal.
Capture d'écran.
Alain Bauer, professeur de criminologie du Conservatoire national des arts et métiers (CNAM), évoque les évolutions des réponses face à des attaques de plus en plus protéiformes.
Des soldats de l'armée française patrouillent dans le village de Gorom Gorom à bord de véhicules blindés dans le cadre de l'opération Barkhane dans le nord du Burkina Faso, le 14 novembre 2019.
Michele Cattani/Afp
Au Mali, les critiques visant l’opération Barkhane, dont l’objectif proclamé est de rendre sa stabilité au pays, sont de plus en plus vives.
Un membre des Forces démocratiques syriennes (FDS) surveille des prisonniers accusés d'appartenir à Daech, dans une prison du nord-est de la Syrie, dans la ville de Hasakeh, le 26 octobre 2019.
Fadel Senna/AFP
Comment juger les combattants de Daech ? Tour d’horizon des diverses options envisageables, des tribunaux locaux à des juridictions internationales qui seraient créées ad hoc.
Meeting de l'Air d'Évreux à la Base Aérienne 105 à Fauville, 2018. L'avion présidentiel stationne régulièrement sur cette base militaire, objet d'une tentative d'attaque en 2017.
Frédéric BISSON/Flickr
Le cas du militaire radicalisé Alain Feuillerat montre l’intrication entre radicalisation et psychopathologie.
Des policiers anti-émeute montent la garde devant les manifestants lors d'une marche appelée par l'union d'action syndicale pour demander de meilleures mesures de sécurité contre le terrorisme, le 16 septembre 2019 à Ouagadougou.
Issouf Sanogo/AFP
La prolifération des groupes armés terroristes issus des périphéries du Burkina Faso s’explique, en grande partie, par la déliquescence d’un État perçu, très souvent, comme illégitime.
Manifestation ‘Je suis Charlie’ à Lille, dans le nord de la France, le 7 janvier.
Denis CHARLET / AFP
En analysant les réactions après l’attentat contre Charlie Hebdo, on observe que ces dernières sont souvent très éloignées des valeurs auxquelles était attaché le journal.
Ghassem Soleimani en 2018.
EPA/EPA-EFE/Iranian Supreme Leader's Office
L'administration Trump n'est que la dernière administration américaine en date à repousser les limites de la loi pour éliminer ses ennemis étrangers.
Des soldats sénégalais membres des forces de la CEDEAO entrent le 22 janvier 2017 dans la ville pour assurer le retour d'Adama Barrow en Gambie afin qu'il soit officiellement reconnu comme le nouveau président élu.
Carl De Souza/Afp
Trois facteurs permettent de cerner les raisons pour lesquelles la relation Union africaine / organismes régionaux, censée reposer sur une coopération, donne parfois lieu à une compétition.
Les forces de sécurité se déploient à Paris après l'attaque à l'arme blanche près des anciens locaux de Charlie Hebdo.
Alain Jocard/AFP
Responsable du Département International Relations and Diplomacy, Schiller International University - Enseignante en relations internationales, Sciences Po
Coordinateur de l'Observatoire pour l'Afrique centrale et australe de l'Institut Français des Relations Internationales, membre du Groupe de Recherche sur l'Eugénisme et le Racisme, Université Paris Cité