Au cinéma, certains concepts scientifiques sont souvent ignorés. Ainsi, dans l’espace, les protagonistes communiquent instantanément, et on peut y entendre du son. Dans la réalité, c’est impossible !
En 1826, on découvrit des objets venus d’Europe à Tikopia, dans les îles Salomon : venaient-ils de l’Astrolabe et de la Boussole, les navires disparus de La Pérouse ?
Ou quand la mise en scène d’un îlot de vie dans l’espace permet de s’interroger sur le développement durable et sur l’exploitation des ressources de notre planète.
Ou comment un film de science-fiction anxiogène s’inspire des mégavirus présents dans le pergélisol arctique et l’éclaire des épidémies de peste qui ont ravagé l’Europe par le passé.
On aimerait une admiration partagée pour tous ceux qui, comme Thomas Pesquet, mettent leur travail au service de la France. Au lieu de quoi, on préfère se moquer de ces « bons élèves ».
Comment aller sur Mars, avec tout le matériel nécessaire, sans rester coincé dans l’espace au milieu du voyage ? Grâce à un propulseur au plasma. Mais la technologie doit encore être améliorée.
Il y a un peu plus de 200 ans, le capitaine français prit le large à la découverte de l’Australie. Avec son équipage composé de scientifiques, il en captura les beautés naturelles.
Professeur de Physiologie du travail et de l'exercice /// Ex- CR2C "Spécialiste physiologie du sport " au Commissariat des Armées - HIA Laveran, Aix-Marseille Université (AMU)