Alice Desclaux, Institut de recherche pour le développement (IRD); Khoudia Sow, Institut de recherche pour le développement (IRD), and Rose André Faye, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Cannabis, crack, nouvelles drogues de synthèse… les stupéfiants qui arrivent en France transitent en partie par l'Afrique de l'Ouest. Sur place, se développe aussi une consommation locale.
Sans aide extérieure, les solutions internes des forces gouvernementales ont non seulement échoué à contenir ces groupes, mais ont aggravé la situation.
Contraction des mots « narcotrafic » et « homicide », le terme « narchomicide » a été utilisé pour la première fois par la procureure de la République à Marseille en 2023. Que signifie-t-il ?
Les nids-de-poule semblent une fatalité. Il existe pourtant des solutions pour construire des routes plus résistantes aux conditions météorologiques, notamment quant aux cycles de gel et de dégel.
Dennis Rodgers, Graduate Institute – Institut de hautes études internationales et du développement (IHEID) and Steffen Bo Jensen, Aalborg University
À partir du quartier Félix Pyat à Marseille, deux anthropologues ont choisi de comprendre le contexte de violence au-delà du phénomène de trafic de drogue qui mine la cité phocéenne.
Dennis Rodgers, Graduate Institute – Institut de hautes études internationales et du développement (IHEID) and Steffen Bo Jensen, Aalborg University
Les représentations des cités marseillaises comme lieux de violence tributaires du trafic de drogue nourrissent des imaginaires masquant d’autres formes de violences structurelles.
S’il est exagéré de qualifier la France de « narco-État », le pays ne s’en trouve pas moins au cœur de nombreux trafics de drogue, celle-ci provenant aussi bien des Amériques que d’Afrique et d’Asie.
Services d’immatriculation de sociétés-écrans, messageries cryptées et modes de régulation des infrastructures portuaires sont autant d’exemples de supports fournis par l’économie légale aux trafics.
Cœur, poumons… le trafic d’organes en Chine offre un catalogue aux patients les plus riches en attente de greffes. D’où viennent ces organes ? Les prisons chinoises détiennent les réponses…
Dix facteurs entraînent, historiquement, de nouvelles pandémies. Voici comment guerre, déforestation ou trafic illégal d’espèces protégées par exemple mettent en danger la santé mondiale.
La circulation non contrôlée d’armes à feu, en provenance essentiellement des États-Unis, fait du Mexique un des pays comptant le plus d’homicides volontaires au monde. Comment y remédier ?
Michel Gandilhon, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)
Contrairement aux affirmations récurrentes de Washington, ce ne sont pas les talibans, mais les alliés afghans des États-Unis qui ont, depuis vingt ans, été les principaux trafiquants d’opium.
Sonny Perseil, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)
Le recours aux réseaux sociaux dans le trafic de drogues s’inscrit dans des pratiques traditionnelles et pourrait, faute de mieux, limiter les dommages liés à l’exposition des points de deal.
Thomas Sauvadet, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
Un « trou noir statistique » complexifie la prise en compte de la violence des jeunes surreprésentés aussi bien chez les victimes que chez les auteurs de délits et de crimes.
Khalid Tinasti, Graduate Institute – Institut de hautes études internationales et du développement (IHEID)
La lutte contre le trafic et la consommation de drogues dans le monde ne va pas sans conséquences néfastes pour les objectifs du développement durable de l’ONU.
Michel Gandilhon, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM) and Alexandre Marchant, École Normale Supérieure Paris-Saclay – Université Paris-Saclay
Il y a cinquante ans, le 31 décembre 1970, la France votait une loi majeure réprimant l'usage et le trafic des drogues. Retour sur les circonstances géopolitiques de l'adoption de ce texte controversé.
Le commerce illégal d’espèces sauvages, comme les perroquets d’Afrique, risque d’accélérer leur l’extinction et représente une sérieuse menace pour la biodiversité.
La consommation d’animaux sauvages n’est pas l’apanage de l’Afrique et de l’Asie. Les pays occidentaux importent massivement des espèces exotiques destinées au marché des animaux de compagnie.
Coordinateur de l'Observatoire pour l'Afrique centrale et australe de l'Institut Français des Relations Internationales, membre du Groupe de Recherche sur l'Eugénisme et le Racisme, Université Paris Cité