L'IAE Savoie Mont Blanc, école universitaire de management, est l’un des 36 IAE du Réseau IAE FRANCE et l’une des 7 composantes de l’Université Savoie Mont Blanc. Il offre des formations en licence, master et doctorat sur les campus universitaires d’Annecy et de Chambéry dans les domaines de la gestion d'entreprise, de l’économie, du génie industriel et du numérique, ou encore des sciences politiques. Inscrit au cœur des deux Savoie et du Genevois, territoires extrêmement dynamiques en termes économiques et démographiques, l’IAE propose également une offre de formation ouverte sur certains secteurs spécifiques tels que l’industrie, la banque, le tourisme, l’hôtellerie et l’organisation évènementielle.
Les enseignants-chercheurs de l’IAE, issus de différentes disciplines, évoluent au sein de plusieurs laboratoires de l’Université Savoie Mont Blanc. Les gestionnaires et les économistes, membres de l'Institut de Recherche en Gestion et Economie (IREGE), développent des travaux de recherche autour d'une thématique fédératrice « choix environnementaux et innovations ». Les enseignants-chercheurs en informatique et en génie industriel travaillent au sein des laboratoires de Polytech. Quelle que soit leur discipline de référence, ils contribuent à alimenter le lien recherche-formation autour de formats innovants et ce, dès la licence (e.g. academic tallks, label recherche, chaire partenariale) tout en prenant part activement au débat public et aux préoccupations concrêtes du monde socio-économique.
Les habitants de la « Venise des Alpes » en ont ras le bol du surtourisme. Les nuisances les conduisent à revoir leurs usages du territoire… et parfois même, les conduisent à déménager.
Pour être courageux en entreprise, mieux vaut lire Aristote que voir des films de superhéros. Être courageux avec ses équipes, c’est oser être, oser dire et oser faire… et identifier ses peurs !
Malgré les discours sur la sobriété volontaire, la sobriété proposée par les pouvoirs publics reste dictée par la contrainte. Des leviers existent pourtant pour une sobriété « choisie ».
Malgré des prix qui bondissent, la rénovation énergétique reste lente en France. D’abord car les effets de la hausse ne sont pas immédiats, mais aussi car d’autres freins interviennent.
Selon un projet de recherche, ceux qui déclarent préférer le confort thermique plutôt que de réaliser des économies d’énergie gagnent 7 965 euros de plus par an que la moyenne des ménages.
Pour des territoires de montagne en mal d’attractivité, la culture apparaît comme levier pertinent de redynamisation. Encore faut-il savoir comment développer ce type de projets.
La première ministre Elisabeth Borne sera en charge de la planification écologique et énergétique du pays. Pourtant, de tels plans existent déjà, mais ne sont que peu suivis.
Le consommateur de presse écrite reste aujourd’hui peu sensible à la complémentarité de l’offre proposée sur différents supports, physiques et numériques.
Apple, Google et consorts l’ont bien compris : multiplier les modèles d’affaires est devenu indispensable pour survivre dans l’économie numérique. Et si la PQR s’en inspirait ?
Léo Trespeuch, Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR); Aurélie Corne, IAE Perpignan School of Management – Université de Perpignan Via Domitia; Béatrice Parguel, Université Paris Dauphine – PSL; Dominique Kreziak, IAE Savoie Mont Blanc; Élisabeth Robinot, Université du Québec à Montréal (UQAM); Fabien Durif, Université du Québec à Montréal (UQAM); Florence de Ferran, La Rochelle Université; Hélène Michel, Grenoble École de Management (GEM); Jean-Luc Giannelloni, Grenoble IAE Graduate School of Management; Jean-Marc Fontan, Université du Québec à Montréal (UQAM); Laurent Botti, IAE Perpignan School of Management – Université de Perpignan Via Domitia; Mathieu Lajante, Université Laval; Mireille Lalancette, Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR); Myriam Ertz, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC), and Nicolas Peypoch, IAE Perpignan School of Management – Université de Perpignan Via Domitia
La crise de la Covid-19 révèle qu’il est possible d’adopter à grande échelle des comportements plus responsables sur les plans environnementaux et sociaux. Mais ces comportements vont-ils perdurer?
Le modèle Uber pose de nombreuses questions sociétales et économiques. Mais comment fonctionne ce modèle basé sur une plateforme multiface ? Application au cas de la boulangerie.