IFP Énergies nouvelles est un organisme public de recherche, d’innovation et de formation dans les domaines de l’énergie, du transport et de l’environnement. De la recherche à l’industrie, l’innovation technologique est au cœur de son action.
Dans le cadre de la mission d’intérêt général confiée par les pouvoirs publics, IFPEN concentre ses efforts sur : l’apport de solutions aux défis sociétaux de l’énergie et du climat en favorisant l’émergence d’un mix énergétique durable ; la création de richesse et d’emplois en soutenant l’activité économique française et européenne, et la compétitivité des filières industrielles associées.
Partie intégrante d’IFPEN, son école d’ingénieurs IFP School prépare les générations futures à relever ces défis.
Créé en 1944, IFPEN est un établissement public à caractère industriel et commercial (EPIC).
Peut-on décarbonner les mobilités sans se jeter dans les bras des industriels chinois, champions des batteries lithium-ion ? Cela suppose des décisions difficiles à prendre et à assumer.
Le continent espère profiter des besoins croissants en minerais critiques pour renforcer son rôle dans les chaînes de valeur internationales, au-delà de la seule extraction.
Alors que le secteur minier est en plein essor en Afrique, les pays du continent tentent de développer leurs programmes d’exploration pour prendre part à la dynamique.
L’Union européenne fixe des objectifs peu atteignables en matière de relocalisation de ces matériaux stratégiques, sans s’interroger sur la façon d’en réduire notre usage.
Piéger plus de CO₂ qu’on en émet, voilà le principe du puits de carbone. Il en existe des naturels – comme les forêts – et d’autres artificiels, en cours de développement technologique.
Emmanuel Hache, IFP Énergies nouvelles ; Pauline Bucciarelli, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières, and Valérie Mignon, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
La proposition formulée récemment par l’Indonésie pourrait notamment se heurter à l’hétérogénéité des politiques de production des pays producteurs et à la place des acteurs étrangers.
Les scénarios du GIEC et de l’IEA incluent des capacités de capture, transport et stockage du CO₂, notamment pour les cimenteries et centrales à charbon.
En ne prenant pas assez en compte les mécanismes de l’effet rebond, les modèles climatiques et énergétiques surévaluent les économies d’énergie vraiment réalisables.
La part du cuivre utilisé à des fins électriques pourrait s’accélérer avec le déploiement des énergies renouvelables, au risque de créer une nouvelle dépendance.
Le développement économique de l’Afrique subsaharienne, riche en ressources et en hommes, se heurte aux lacunes du continent en matière d’électrification.